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Sometimes the hand of fate must be forced │ Omen
Invité
Anonymous
pic-profil

Invité
Dim 12 Fév - 19:30
OMEN
Bariath






Informations générales

Lindroth
Elias
36 ans
Ultarime
Masculin
80 kg
1 m 85
Hétérosexuel
Dragon des ténèbres ▬ Banshee





Informations psychologiques

Hobbys & phobies
Qualités & Défauts


Hobbys :

Lecture ▬ Ecriture ▬ S'improviser barde. ▬ Voyager ▬ Se divertir grâce à son marquage, sa magie. ▬ Manipuler, insuffler la discorde.

Phobies :

Une éventuelle perte de sa magie ▬ Etre isolé des humains, des autres mortels à cause du maladif intérêt qu'il leur porte, de par l'unique raison de vivre qu'ils lui offrent.
Qualités :
Joueur ▬ Curieux ▬ Entreprenant ▬ Poli ▬ Généreux (en quelque sorte) ▬ Persuasif ▬ Beau parleur, bon orateur ▬ Hardi ▬ Observateur ▬ Rusée.

Défauts :

Manipulateur ▬ Orgueilleux ▬ Vindicatif ▬ Calculateur ▬ Fière ▬ Arrogant ▬ Moqueur ▬ Sarcastique.





Magie et arme

Magie
Arme


Void

Magie à la fois simple et relativement efficace qu'est la téléportation, pouvant permettre de palier à de nombreuses situations délicates. Pouvant t'en servir donc pour te mouvoir, déplacer instantanément un objet d'un point à un autre, détourner ce qui se trouve à tes côtés, magie aussi offensive que défensive même si celle-ci se voit en quelque sorte handicapé par ton champ de vision qui encadre l'utilisation de ton pouvoir.

Tu t'es toujours distingué surtout de par le fait qu'au delà du simple fait de pouvoir abuser de ces traits de ta magie tu es apte à le partager. Disposant de l’habilité qu'est celle d'apposer une marque à un quelconque individu, lui partageant ta magie, lui concédant le droit de s'en servir alors que ton étreinte se referme sur celle-ci pouvant dès lors percevoir sa présence lorsque ton élu se trouve en la même ville que toi par exemple. Capable aussi de te repaître d'éléments mineurs vis à vis de la personne qui s'est vu apposer ton sceau, tel que la connaissance vague de son émotions sur un moment donné. Tu as aussi hérité du choix qu'est celui de fixer une date d'expiration à ton don, à ta marque alors que tu peux révoquer ce pacte à tout moment.

Ta magie ne fait cependant exception à ses autres consœurs perçues comme perdues. Puissance magique et capacité magique impactée suite à un marquage si tu décides de te jouer d'un de tes semblables. Lésions mortelles ou non pouvant trouver naissance en ton organisme suite à une utilisation bien trop intensive ou prolongée, passant par différentes échelles comme la perte de connaissance, un coma bien plus grave ou tout simplement le décès. Ton mental aussi s'en été vu altéré contrairement à d'autres individus ayant hérité d'un pouvoir proche de celui que tu détiens. En effet tu es une coquille, une coquille vide lorsqu'il s'agit d'évoquer ta raison de vivre. Absence de réelle motivation, tu n'as d'objectif et tu survis, te donne un artificiel but de par l'amusement que peuvent te fournir les humains. Tu les observes, te diverti de par leurs actions mais au fond tu ne fais même pas ceci par conviction, afin de servir un intérêt, non tu fais ceci pour tuer le temps tandis que ta magie t'a volé une chose, tes désirs, tes objectifs. De surcroît tandis que tu es capable de partager ton don, tu as développé en retour comme une allergie, une inexplicable répulsion de ton organisme pour les soins prodigués via une magie ou une potion encore. Aversion pouvant aller jusqu'à un total refus de ton être pour tout autre sort censé te revigorer, te rendre plus résistant, fort ou encore véloce si la fatigue te guette de par un usage abusif de ta propre magie. Les effets secondaires dans ce cas peuvent très bien varier d'une forte nausée, des sueurs froides jusqu'à une perte de connaissance et accessoirement pire.
Nécessité inavouée, dépendance refoulée, quand la magie ne suffit plus toi aussi tu es obligé de t'en remettre aux fondements les plus basiques. À l'outil le plus basique que l'humanité a su fabriquer en sa longue existence, une arme. Objet servant tantôt à survivre, se défendre, conquérir ou encore massacrer.

Tu disposais d'un arme relativement curieuse. Une simple pression sur la poignée, la lame s'extirpant de celle-ci, trouvant naissance à partir de sa garde. Métal ayant fini de se déployer alors qu'il n'attendait plus qu'une unique chose, trancher, découper, empaler selon ton bon vouloir. C'est en un geste similaire à son apparition que tu pouvais faire rebrousser chemin à ta lame, celle-ci venant docilement se replier au cœur de la garde et de la poigne. Parcelle restante de ton arme que tu n'avais plus qu'à ranger, dissimuler ou autres. Tu ne t'étais contenté de la norme des autres mortels en le choix de ton outil de défense, toujours envieux de te distinguer.





Description mentale


« He watches everything, thinks his own dark thoughts, and offers his gift to some. »


Des désirs qui ne sont que désordres. Tu es une anomalie dans cette algorithme au renouvellement éternel qu'est le monde. Un être à la perception débridée, une créature aux priorités délabrées. Hors de la norme, bien distant en comparaison de tes semblables Bariaths, tu erres tel un prédateur toujours plus envieux des autres de par ton insondable conception de l'existence. Porteur d'espoir hors de l'éthique que chaque population a su définir avec le temps, tu n'es qu'une entité de chaos doublée d'une curiosité malade vis à vis de ce monde, de son univers, de sa propre aversion pour tout ce qui peut être considéré comme juste. Normes sociétales ne pouvant te satisfaire, tu es donc ce genre de parasite qui cherche à les opposer à sa contestable vision, macabre joueur.

Définition du bon ou du mauvais subjective, société aseptisée sans le moindre soupçon d'originalité pour toi. Tu es cette démence vivante qui se moque du cosmos qui l'a vu naître, cette bête qui se complaît dans l'idée de voir ce que l'homme peut réaliser une fois que celui-ci se voit offert ses plus sombres désirs.

Profiteur au caractère informe, tumultueux, tu as su depuis longtemps t'offrir ta propre voie en ces univers, sens dès lors donné à ta vie, lui ayant ôté cette absence de but qui te hantait. Dragon à la neutralité prôneuse de dérives, tu te complais dans l'opposition et l'anarchie. Tu te complais de par les distractions que tu sais te prodiguer, de par les distractions qu'autrui sait t'allouer. Animal à l'appétence illogique, tu te délectes du simple fait d'épier, observer l'Homme en société lorsque celui-ci se voit offert les outils pour surpasser ses plus folles envies, pour exaucer sa plus base vengeance. Honnête ou trompeur, tu concèdes sans distinction ce qui te rend si spécial afin de te divertir, afin de pouvoir apprécier le changement qu'une ambition malsaine ou non peut amener en ce bas monde. Tu es porteur d'espoirs comme de sordides désillusions et cela t'amuse, te fascine alors que tu leur donnes tant de moyens à ces mortels pour façonner le monde à leur façon. Entité prônant le fait d'appliquer sa propre justice, dissolvant ici et là sa goutte d'anarchie, offrant à d'autres de quoi palier à ce massacre.

Tu n'es qu'un observateur amusé, manipulateur destructeur aux méfaits parfois bienveillants. Tu n'es bel et bien que cette aberration n'acceptant une quelconque vision manichéenne, monde ne pouvant évoluer sans ces deux bords décadents que sont le bon ou le mal. Amalgame pragmatique doublé d'une critique facile et atrocement aiguisée. Tu n'es aussi que dévotion inappropriée tantôt éventuellement porteuse d'affliction, de gangrène. Tout et rien, être au sourire invariable qu'importe le projet qui a su germer en son détraqué esprit. Tu ne sais que te jouer de tes confrères tandis que tu laisses sournoisement ton impact sur ce monde ou plutôt ces mondes s'aggraver. Tu aimes créer l'histoire, la voir se perpétuer, la voir évoluer, déformer et massacrer par les choix de l'Homme sous le joug de la facilité et de ses ravages. Tu es celui qui va donner armes et outils pour que les multiples espèces réalisent leurs œuvres, peu soucieux du résultat mais tout simplement envieux de le contempler cependant. Tu es l'être qui observe, l'étranger aux émotions humaines mais à la cruelle perception.




Description physique

Souvenir altéré, réalité débridée, tout n’était qu’étranger réminiscence alors tu te remémorais l’inopinée entrevue de cette nuit. Moment si spécial, calme de ton sommeil troublé de par une présence que tu n'avais pu anticiper, que tu n'aurais su anticiper tandis que tu croupissais tel un misérable entre ces quatre murs vivant désespérément au gré des diverses annonces de tes geôliers.

Désagrément toujours présent alors qu'il t'avait imposé sa marque, sensation éternelle de froid et autres frissons omniprésents depuis que ce stigmate figure sur ton corps. Tu te souviens de ces deux orbes de givre qui te dévisageaient sournoisement en cette obscurité, de ce léger sourire qui étirait doucement mais sûrement son faciès. Tu te souviens de chacun de ces détails qu'importe les ténèbres qui avaient englouti ta geôle en cette nuit, de sa barbe naissante, de ses traits un tant soit peu marqués par les crocs du temps. Crinière brunâtre, singulière, générique quoi que tout chez lui était générique, portait des plus anodins. Absence de toutes distinctions cela ne t'avait empêché pourtant d'avoir été comme envoûté par ce simple homme, ton esprit totalement monopolisé.

Un pas puis un autre, la noirceur de cette pièce semblant choyer sa carrure, silhouette quelque peu élancée tandis que l'ombre elle ne cessait de le poursuivre, d'englober son être encore et encore. Son enveloppe charnelle subtilement sculptée même si tu ignorais tout de l'existence d'une quelconque cicatrice ou autres éternels croquis à même sa chair. Il n'en était resté pas moins des plus humains sans la moindre distinction apparente, anatomie dépourvue d'exotisme. Un simple tic tandis que sa personne se divertissait avec la chevalière qu'il portait à la main droite. Il était comme toi, comme vous tous, comme tout ceux de ton espèce, merveilleusement vêtu d'ailleurs. Son rang trahi de par sa tenue, du moins c'est que tu avais supposé. Tu n'avais pu qu'être admiratif face à cette dérangeante prestance, silencieux, te contentant il y a de cela quelques heures de simplement décrire son veston noirâtre, sa chemise à la teinte identique ou encore ce tissu cramoisi lié par un banal nœud qui enlaçait la base de son cou.

Il avait le corps d'un homme mais l'attitude d'un étranger dont les actes ne pouvaient qu'être incompatibles avec de nombreuses notions que tout individu s'était vu instruire. Il n'avait cessé en cette nuit de t'épier, ses lèvres s'arquant en un rictus face à chacune de tes réactions, face aux rares paroles que tu lui avais offert en réponses. Ce mystère vivant, il s'était calmement nourri de tout ce que tu lui avais offert en ce bref instant que vous aviez partagé. Il t'avait concédé en retour tout ce que tu n'avais jamais pu espérer, le pouvoir même si tu ne t'étais encore amusé avec celui-ci. Il t'avait offert l'espoir tout en ayant ravivé en toi l'amertume de la vengeance ayant si habilement déversé ces cendres au cœur de ton être. Un geste de sa part, réajustant ses boutons de manchettes, acte anodin à vrai dire c'est ainsi qu'il avait conclu votre entrevue avant de se volatiliser. Sa marque apposée le long de ton avant bras, tu avais en cette nuit parlé à une personne tout comme toi. Tu avais en cette nuit parlé à une personne dont l'attitude s'était montrée tout sauf logique. Tu avais en cette nuit parlé à une monstruosité au raffinement inégalé.




Racontez-nous votre histoire


« And I've been to some bad, bad places, seeking hope at the darkest times. I've seen despair in the saddest faces, now I'm here to offer what's mine. »

The world was young, the mountains green.
No stain yet on the Moon was seen.


Un événement que l'on ne peut se remémorer, un événement dont les souvenirs sont inexistants de par la simple logique qu'est celle de l'âge, des souvenirs qui se fanent avec le temps. Un instant que l'on ne peut graver en sa mémoire mais dont deux personnes se rappelleront à jamais selon certaines conditions. Tu avais vu le jour en un village lambda de Ultarime, en un contexte des plus classiques issu d'une famille de fermiers, de cultivateurs qui à la sueur de leur front vivaient de façon honorable malgré tout, survenant aisément à leurs besoins, se permettant tantôt quelques écarts. Tu avais donc par le passé pris place en ce monde en un cadre modeste, que les pauvres enviaient, que les bourgeois ou nobles dédaignaient mais dont l'on ne pouvait réellement se plaindre. Tu avais reçu dès ta naissance tout ce qu'un bambin avait mérité, un berceau, la chaleur d'un feu, les étreintes et l'amour d'une mère, la satisfaction d'un père face à son descendant et son premier né. Les félicitations des proches pour fêter l'heureux événement venant se coupler à tout ceci, les cadeaux des concernés couronnant ton initiale journée en cet univers qui te tendait les bras. Il n'y avait qu'un mot pour décrire tout ceci, parfait, c'était parfait alors que pour une fois, une génitrice n'avait eu à offrir son existence aux dieux pour qu'ils acceptent celle du fruit de ses entrailles en ce royaume au dessous des cieux.

Tu avais eu la chance de naître en un village malgré tout des plus civilisés, des plus ouverts d'esprit alors que celui-ci était loin de tout, loin de tout lieu apte à dispenser la justice royale, apte à traiter les crimes hors de la simple vindicte d'une population peu instruite et réfléchi dans certaines de ses mesures.  Œil pour œil, dent pour dent, c'était souvent la façon la plus adaptée pour les villageois afin de régler un problème. Fonctionnement barbare et quelque peu primitif, il n'en restait que ceci oublié le modeste bourg qui t'avait accueilli s'était montré de par le passé très charmeur. Liberté de culte y figurant, chacun pouvant prier la divinité qui lui convenait selon sa vision des choses en son chez soi, en sa chambre à défaut d'avoir un temple proche dédié à l'un des puissants de façon précise. L'ensemble des dieux principaux ayant trouvés leurs adeptes, même si parmi ces êtres divins, un intrus précis était bien moins vénéré que ses semblables, porteur de la mort, des cauchemars, du néant. Les ancêtres avaient même su légitimer le culte de Valormuk par le fait que tôt ou tard, chaque mortel se devait de se présenter à l'obscurité, la faucheuse, l'inexistence et l'après vie...

C'est en ce petit univers que tu as grandi il y a de cela maintenant des années, un univers prônant la tolérance, un univers au mode de vie simple et aux journées banalement variées par le travail aux champs, au bétail, soirées agrémentées par quelques cours pour t'apprendre à compter un minimum et savoir lire afin de marchander convenablement en cas de visiteurs intéressants.

Une situation idyllique, ton lieu de vie étant miraculeusement épargné par ces barbares, par ces parias de la société nommés Bariaths. Tu étais définitivement destiné à finir fils de paysans, gamin élevé pour reprendre l’entreprise familiale. Il y avait toujours un mais cependant, existence ne pouvant être des plus parfaites. Aujourd'hui tu te rappelles encore de cette nuit même si tu avais omis il y a déjà bien longtemps des détails de ton passé. Cette nuit, elle n’avait été que sang et douleur, terreur et incompréhension, bribes de souvenirs et peur démesurée de tes géniteurs. Cette nuit ce fut celle où ta vrai nature s’était affirmée, une vrai nature qui faisait de toi un monstre, un monstre noble fort heureusement.

Alors que l’astre du jour avait depuis bien longtemps quitté son trône céleste pour offrir sa place à sa compagne nocturne, période équivalente à l’été s’étant profilée il y a de cela plusieurs semaines. Tu avais quitté le village pris d’un certain malaise, submergé par une sensation désagréable à la tombée des ténèbres sur ces terres, la lueur nocturne s'élevant au cœur des cieux. Discret du haut des tes dix ans à l’époque tandis que tu avais fini par t’isoler non loin des plantations de ta famille, loin du lit où tu aurais dû reposer, tes parents n’ayant remarqués ton escapade nocturne.

Ce n’est qu’après plusieurs minutes que ton géniteur avait fini par constater ton absence guidé hors de la demeure par des sonorités qui n’eurent qu’un effet aussi basique soit il, le faire courir afin de retrouver le plus rapidement possible sa progéniture qui ne cessait d’émettre d’atroces complaintes de douleur. Douleur issue d’une vision inqualifiable tandis que ton propre corps se broyait, les os éclatant, se reconstituant en une forme inhumaine. La chair, la peau laissant place à des écailles, boîte crânienne détruite pour donner naissance une gueule de carnassier, de reptilien. Dos se déchirant lui aussi sous des ailes naissantes, proportion en devenant drastiquement supérieures à celles de tout humain alors que tu avais conservé des tailles propres à celle de ton âge lors de cet événement pour l'espèce que tu étais devenu.

Ce fut en ce jour que tu avais expérience ta toute première transformation forcée en cette créature quasi divine nommée dragon, ton père s’étant enfui face à cette abominable vision alors que l’ensemble des villageois s’étaient cachés face aux hurlements de terreur du concerné. La nuit ayant fini par passer d’ailleurs, battue organisée dès lors à l'aube afin de te retrouver alors que tes parents avaient fini par récupérer ton corps, inconscient mais vivant, sain et sauf. La peuplade s’étant dès lors empressée de te mener auprès des anciens, des sages, de ceux qui avaient pu de par le passé se plonger dans la lecture, en des manuels, auprès de ceux qui avaient tout simplement un peu plus de savoir que la basse moyenne. Ton cas fut expliqué par la suite aux intellectuelles, débats trouvant naissance en ton village natal face à une problématique inconnue pour eux, il n’y avait de mots pour décrire le changement qui s’était profilé.

Considéré comme une bête menaçante, perçu comme l’une de ces choses de légende par d’autres. Ton destin ne pouvant être fixé même si la majorité de ces pauvres d'esprits souhaitaient rapidement régler tout ceci. Le malheur avait décidé de continué à s’abattre sur ton village en parallèle. La paisible bourgade depuis bien trop longtemps épargnée par les pillages et les caprices de ceux que l'on dénommaient Bariaths. Un groupe de ces hors la loi avait enfin compris que ton village natale constituait une cible de choix à qui imposer régulièrement une taxe de par le désintérêt que le pouvoir en place lui portait, loin de tout, loin du pouvoir judiciaire. C'est ainsi que l'impôt fut levé, les saisons rythmant les visites des pilleurs, rythmant la naissance de ton appréhension vis à vis de tes semblables humains, rythmant un dédain latent.

Quelques jours, un simple délai entre ces deux malheurs qui avaient fini par frapper le bourg qui t’avait vu grandir, toi même source de l’un de ces moments de cauchemar. Pour toi, les Bariaths n’avaient été qu’un problème dont tout le monde parlait mais sans intérêt par rapport à la préoccupation que tu étais du haut de ton jeune âge. Que se passerait il si un jour ils décident délire domicile le temps d'une nuit, le temps d'une nuit de pleine lune ? Que se passerait il si ce phénomène se reproduirait en leur présence ? Que se passerait il si malgré tout l'un d'eux finirait tué par cette créature que tu étais ?

Ce n’est que quelques jours après ta transformation qu’un homme avait fini par rejoindre ton hameau à la recherche d’un individu, à la recherche d’un être qui s’était changé en bête selon le bouche à oreille d’un village à l’autre. L'événement ayant visiblement fait son petit chemin, le récit porté, déformé de bouche à oreille. Cette personne, elle était venue pour représenter les intérêts d’un groupe nommé la congrégation de l’entre-monde et pour surtout négocier une chose, ta garde. Magicien avéré ou du moins en devenir depuis cet accident concernant ta personne. Il avait su se montrer convaincant en leur proposant à tes parents le droit de t’emmener en l’échange de t’offrir tout ce qu’ils n’auraient jamais pu te concéder, une éducation des plus riches, l’éventualité de devenir un individu de renommé et surtout un sauf conduit vis à vis de certains malheurs de cet univers. Ton père et ta mère ne s’étaient jamais préparés à la basique idée d’être abordés par un membre de cette prestigieuse organisation sur laquelle ils n’avaient entendu que des louanges.

Ton choix, on ne te l’avait demandé, on te l’avait imposé pour ton bien et surtout pour le bien de tous. Par chance tu n’avais blessé personne lors de ta première transformation, t’étant contenté d’errer dans les champs et les forêts alentours. Au mieux tu avais fini par massacrer du gibier ni plus ni moins mais tu n’en étais resté pas moins dangereux et incontrôlable cependant pour ceux qui t'avaient vu grandir jusque là. La suite, il était inutile de la préciser de façon plus poussée alors que l’ensemble des villageois avaient su faire pression sur tes parents pour qu’ils te confient à sa personne. Ni une, ni deux, c’est à l’aube que tu avais fini sur les routes avec ton petit bardât, sur la scelle du seul et unique cheval dont disposait le fameux inconnu. C’est à l’aube que tu les avais quitté et que tu avais pleuré comme tout gamin l’aurait fait en une situation comme celle-ci, c’est à l’aube que ta mère t’avait prise une ultime fois entre ses bras, le regret la rongeant alors que ton père se consolait pour le mieux se disant que cela était le mieux pour toi. Te tapotant la tête alors qu’il retenait difficilement ses larmes, tu te rappelles encore aujourd’hui de la promesse qu’ils t’avaient imposé, celle de faire ton possible pour leur revenir un jour et surtout celle de ne jamais les oublier.

Au delà du chapitre émotionnel, tu n’y avais pas perdu aux changes à vrai dire selon un raisonnement des plus pragmatiques. Tôt ou tard, nous devons tous quitter notre berceau pour devenir la fierté de nos géniteurs et cela tu avais mis du temps malgré tout à le comprendre. Quant à ton pseudo sauveur, celui-ci n’avait jamais été un membre de la congrégation en réalité, juste un très bon parleur, un homme relativement âgé, proche de la soixantaine à ce moment là. Anciennement affilié à cette organisation en réalité puis banni pour faute grave, devenu simple paria sans grande motivation hormis continuer son exploration des mondes afin de nourrir sa curiosité et surtout trouver un éventuel disciple selon ses propres desseins. Tu avais fini par doucement mais sûrement accepter cette nouvelle vie et la drôle de tournure de ton destin, le choix, tu ne l'avais pas vraiment eu.


The world is grey, the mountains old.
The forge's fire is ashen-cold.



La suite de ton existence elle avait été partagée par de longs voyages, de nombreuses nuits à la belle étoile même si vous disposiez d’un certain confort cependant en votre bardât. Vous vous permettiez même le luxe de se payer des nuits en des auberges, le vieille homme à tes côtés n’étant point recherché ou très peu alors qu’il faisait partie des Bariaths, n'ayant jamais réellement mérité ce pittoresque titre. Périple s’accompagnant d’une instruction des plus rigoureuses dès lors que l’histoire des mondes n’avait plus le moindre secret pour toi tout comme le maniement de certaines armes, tout comme la survie aussi en réalité. Il t’avait forgé, il avait su faire de toi un homme débrouillard, voir assez tenace et adapté pour se raccrocher à la vie de façon si exceptionnelle en un univers où tout pouvait basculer du jour au lendemain, en un monde où les faibles n’étaient pas tolérés.

Les armes, l’histoire, l’alchimie, les arts et tout particulièrement la magie, il t’avait offert tout t’apprenant même à tempérer tes récurrentes transformations en dragon selon le bon vouloir de la lune et de ses cycles. On ne fait jamais un tel investissement sans retour cependant, on ne nourrit pas pendant plusieurs mois un enfant touchant à l'âge de l'adolescence pour simplement l'instruire et le lâcher en liberté. Loin de tout ceci, il t'avait appris aussi à te méfier de tes congénères, à juger, à peser le pour et le contre, à omettre la simple catégorisation du bien et du mauvais. Ceci ca n'existait pas pour lui, chacun avait ses intérêts aussi pittoresques soient ils mais de par cette liberté aucun n'avait tort même si tout devait être nuancé. Il t'avait illustré les atrocités que l'Homme pouvait commettre en le simple nom de ses convictions avec l'exemple de Vanerzame et ce qu'ils avaient appelé la seconde guerre mondiale. Il t'avait illustré le fait que malgré tout en de nombreuses autres occasions tout pouvait en devenir cependant bien plus discutable avec de simples guerres et autres conflits de pouvoir là où chacun suzerain souhaitait voir son pays prospérer en plus de satisfaire son ego.

Il y avait du bon, du mauvais, des motivations et une fresque imbibée par ces idéaux qui entraient en rivalité. Il y avait un équilibre nécessaire et surtout éternel, il y avait l'impossibilité d'une utopie selon lui, il y avait juste des choix respectables ou non. Des choix justifiables ou non, des choix nécessaires ou non de par l'enchaînement des événements. Il n'y avait du blanc ou du noir, juste du gris et la décision de chacun d'être catégorisé comme bon ou mauvais. Étrange certes, il t'avait surtout appris à réfléchir avant d’émettre un jugement dans non pas le but de faire de toi un bon être mais seulement au final trouver un nouvel hôte pour sa magie.

Chute abrupte, magie perdue convoitée, il avait voué la fin de son existence à l'anodine quête qu'était celle de trouver un digne réceptacle de sa magie ne souhaitant voir un irresponsable s'en emparer ne sachant si celle-ci allait mourir avec lui ou non. Préférant éviter l'éventualité de la voir voler sur son cadavre. Il avait profité du fait que tu étais encore jeune afin de t’imbiber de sa perception de ce monde, ayant parié aussi sur le fait qu'un dragon ne choisit pas au hasard le premier venu pour devenir son successeur. Tu avais peut-être quelque chose de spécial.

Ainsi c'est à l'âge de tes treize ans qu'il avait fini par réaliser un acte qui aujourd'hui te diverti, tu te rappelles encore de cette sensation, de celle de ta peau qui te brûlait, de cette marque qui s'était dessinée le long de ton avant bras. La sensation de froid ayant suivi l'ardente douleur, les frissons couronnant ce ressenti infâme. Il t'avait marqué et à défaut de partager sa magie comme celle-ci le permet, il t'en avait offert l'entière possession. Un changement sans doute arrivé bien trop tôt, une puissance handicapante pour une enveloppe non pas chétive mais si peu développée face au fardeau qui lui avait été confié.

Il t’avait drastiquement surestimé, songeant en son raisonnement au fait qu’un dragon était bien plus apte à accueillir et supporter une quelconque magie perdue. On ne jouait point avec ce genre de choses tandis que le vieille homme avait oublié la base de ces pouvoirs si singuliers, puissances indomptables gangrenant aisément, dominant si facilement leurs hôtes, en faisant ainsi de simples tombes à la débordante énergie. Il en avait négligé le fait qu’une magie de cette sorte ne pouvait choisir sa prison mais elle disposait du don qu’était  celui de modeler l’enveloppe charnelle qui l’avait accueillie. Changements physiques pour certains, cornes, décolorations ou autres appendices se développant, toi tu en avais fini névrosé, le temps et la sournoiserie de cette force ayant fait son œuvre.

Ainsi tu avais malgré tout continué à vivre, toujours guidé par ton vieux mentor tandis qu’il t’avait énoncé les multiples choix qui s’offriraient plus tard à toi entre le fait de rejoindre le conseil, la congrégation, en soi l’ordre ou choisir des options bien plus proches de la liberté et de l’indépendance. Les Bariaths représentaient cette indépendance, cette liberté et l’absence d’obligation, l’absence de cette obligation de se plier à un supérieur, à des individus éventuellement véreux pour certains. Tu avais même fini par connaître les raisons de son départ de cette organisation régissant en partie l'entre monde. Ses idéaux n'avaient en réalité été qu'en opposition avec les méthodes de la congrégation déjà saignée par la corruption, la faiblesse aussi de par la dépendance des chasseurs de prime. Pour lui cette structure n'avait rien de la prestance qu'elle souhaitait se donner, elle n'avait à juger de par cette utilisation de tueur à gages pour éliminer d'autres meurtriers ou éléments gênants. La congrégation était dans sa période de déclin tout bonnement.

C’est aux alentours de ta vingtaine que l’ancêtre avait fini par trépasser, mort subite, son cœur ayant soudainement lâché alors que tu n’avais plus rien à apprendre de lui. Tu avais brûlé son corps comme il te l'avait demandé un jour lorsque vous aviez abordé le thème de sa mort au détour de débats sur ta situation de dragon à l'affinité étrange avec les dévorantes ténèbres. Ses cendres quant à elles avaient fini dispersée dans son monde natal, Kalerya ayant toi même fait l'effort de les amener en cet autre univers.

Le contexte fut dans les jours qui suivirent cet événement propice pour que tu te décides à honorer une promesse que tu avais tenu, engagement qui n’était autre que celui que tu avais eu vis à vis de tes géniteurs. Revenir en ce village qui t'avais vu grandir, en partie du moins mais souhaitais-tu réellement y retourner ? Intérieurement ta réponse était non alors qu'avec le poids des années tu en étais arrivé à un stade acceptable de maîtrise de ta magie, à un stade où l'osmose existait, à un stade où tu avais troqué une chose qui te rendait humain afin qu'elle t'accepte. Le vide, le néant te choyant, il était tout autour de toi dès lors que l'on aurait pu supposé qu'un pouvoir comme celui-ci vous prive de sentiments. Tu avais été privé de ton libre arbitre vis à vis de tes semblables humains et de cette conception du bien ou du mal. Désintérêt total pour ta propre personne en quelque sorte si l'on oubliait le désir naturel de survie de tout être vivant qui ne te faisait défaut. Tu étais débarrassé de ce qui rendait chacun de nous si unique, tu étais libre de cette envie de t'épanouir, de vivre dans la richesse, de parvenir à réaliser à un objectif.

Absence totale de motivation omniprésente, tu avais dû faire un grand travail sur ta personne pour te trouver une raison de continuer ton petit chemin, créature écailleuse cachée sous cette peau. Tu avais donc entrepris de retourner en ce bourg abandonné il y a de cela maintenant quasiment dix ans, c'est après plusieurs jours d'errance que tu étais arrivé en l'une des forêts proche de celui-ci, c'est ainsi qu'en la nuit tu avais fini par tomber sur un groupe. Bariaths pour changer quoi que certains te rappelaient vaguement quelque chose, un premier visage puis un second te revenant. Ce n'était autre que ceux qui s'étaient alloué le droit il y a de cela des années de considéré comme acquis les ressources que ces pauvres paysans qui t'avaient vu grandir produisaient à la sueur de leur front. L'ombre que tu étais les observant paisiblement, bien trop même alors que tout individu aurait déjà eu pour simple idée en un contexte proche de les exterminer afin de leur apprendre la dure loi de la vie.

Tu avais eu en tête à cette époque un tout autre plan pour eux qui avait pour but d'arranger tout le monde paradoxalement. Un pas puis un autre, finissant par te présenter et prendre place non loin de la naturelle lueur d'un feu, l'archer arc bandé visant en ta direction. Les autres mains sur le pommeau de leurs armes respectives alors qu'un certain étonnement régnait, nimbé d'une assurance non cachée malgré tout de par leur nombre. Discussions sans grands intérêts s'étant entamées, tu leur avais promis pouvoir pour l'un en échange d'oublier le hameau en lequel tu avais grandi, leur promettant un accès à d'autres richesses de par le don que tu comptais offrir à l'un. Inutile de précisé la suite de vos débats alors que celui qui semblait être leur meneur ou plutôt celui qui paressait posséder la plus grande gueule s'était vu octroyer ta marque, une partie de ta magie sans les inconvénients. Tu avais marchandé le fait qu'ils abandonnent leur régulier pillage auprès de ton village en leur échangeant l'atout pour prétendre à des méfaits bien plus glorieux.

Ce n'est que quelques semaines plus tard que tu avais entendu en un autre bourg qu'un groupe de pillards avait fini par s’entretuer pour de récurrents problèmes, l'ego, l'appel de l'argent. Il en avait fallu de peu pour que la discorde s'installe chez eux même si tu n'avais planifié ceci. Histoire qui t'avait diverti le jour où tu l'avais apprise. Tu avais ainsi continué ton exploration des différents mondes, prenant un étrange plaisir tantôt à abuser de ta magie curieux de voir ce que certaines personnes pouvaient en faire, adeptes ou non d'un pouvoir. Voleurs, repris de justice cherchant à se racheter, accusés à tort, meurtriers de par une enfance difficile ou encore bienfaiteur par conviction tu avais expérimenté sur chaque type d'être, sur chaque genre de caractère qu'il puisse exister. Ne tardant à en extirper un certain divertissement afin de tuer le temps à défaut d'avoir toujours trouvé un but à ton existence, cette éventualité bloquée par cette anormale magie en toi. Si ce n'est vivre pour toi vivrais-tu peut-être afin d'offrir des alternatives à tes semblables, porteur d'espoir qu'importe l'idée que tes élus porteraient.

Tu étais cette entité qui vagabondait le long des routes, ni bonne, ni mauvaise, celui qui prenait un malin plaisir à éveiller le subconscient de chacun de par l'appel du pouvoir. Tu étais ce dragon joueur, ce mirage porteur de créativité, de secrets, de désirs réprimés. Bien loin du trompeur, tu étais la clé qui s'offrirait à ceux que tu jugerais digne afin de les voir succomber face à leur inavoués songes les plus sibyllins. Tu étais cette ombre antagoniste à la conscience unique de chacun, cette obscurité qui n'attendait qu'à être éveillée afin de forcer la destinée de bien d'autres.




Informations Supplémentaires

votre sunom
Radium

votre âge
21 ans

Qui est sur ton avatar ?
Booker Dewitt ▬ Bioshock Infinite

La catégorie de ta magie
Magie perdue

Nom de ta magie
Omen > Void

Accès à la zone H/Y/Y
Oui

Pourquoi avoir choisi Kalerya ?
...

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Dernière édition par Omen le Jeu 2 Mar - 22:54, édité 8 fois
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Ryuu T. Drazleyth
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Ryuu T. Drazleyth
Dim 12 Fév - 20:35
Coucou et encore une fois, bienvenue, encore une fois :love:
Bon courage pour ta présentation !
Si tu as un souci, une question, ou autre, n'hésites pas !
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Dim 12 Fév - 20:46
Bienvenue parmi nous, nos prières t'accompagnent, amen ♥
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Invité
Mer 1 Mar - 18:56
Merci pour l'accueil ! :*-*:

J'en profite pour annoncé que j'ai terminé ma prez !
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Siriel K. Vineldyl
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Siriel K. Vineldyl
Jeu 2 Mar - 9:06
Bienvenue :love:

Un membre du staff passera sous peu pour valider ta fiche :love:
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Siriel K. Vineldyl
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Siriel K. Vineldyl
Jeu 2 Mar - 10:23
Omen
Orthographe1,5/2
Vocabulaire 2/2
Conjugaison1/2

Langue française2/2
Originalité2/2
Qualité3/4

Note perso2/2
Longueur du texte4/4
Niveau17,5 -> 18 / 20


Validation avec...
Niveau Total18 -> 20
P. Techniques20 -> 22
P. caractéristiques100 -> 110


Félicitation
Alors alors,

C'est une fiche qui se lit toute seule. Elle est très agréable.
On peut noter des soucis en terme de conjugaison et surtout des accords du participe passé (ER / E) autant seul qu'avec le verbe Avoir.
Peut de fautes d'orthographe et un vocabulaire varié.

Cela vaut tout de même une note de 18 sans bonus.
Tu as donc accès à la race des dragons (Niveau 18), des Banshee (Niveau 16) et le Familier Mythique peut être accordé (niveau 18)

Félicitation :love:


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