Intelligence - Alarya est une personne très intelligente, souvent qualifiée de "surdouée". Stratégique et calculée, elle ne laisse jamais rien de côté. On peut aussi la voir comme une personne manipulatrice, qui prend plaisir à contrôler les gens. Du moins, elle n'y prend pas plaisir ; elle éprouve une certaine satisfaction à se sentir supérieure aux autres. Cette intelligence presque surhumaine est un très grand avantage pour elle qui aime se sentir supérieure ; ainsi, elle peut facilement éviter de se faire elle-même manipuler. On pourrait la qualifier de "joueuse de marionnette", elle qui tire les fils là où il ne faut pas, pour finalement voir la poupée se casser. C'est satisfaisant, parfois. Mais tout le temps ? Pour elle ça le semble.

Rancunière - Rien ne doit être oublié, le mal est mal. Pourquoi pardonner, les gens recommencent après ! C'est la logique d'Alarya. Alors toujours en vouloir, oeil pour oeil, dent pour dent. Si vous lui faites quelque chose de mal, elle n'hésitera pas une seconde à se venger, peu importe qui vous êtes pour elle. En effet, elle n'a jamais connu d'amitié ni d'amour "sincère", elle ne considère donc ses relations comme "peu importantes", et n'hésitera donc pas à les ruiner en un instant. Alarya a beau être intelligente, elle reste quand très impulsive.

Calme - Impulsive, oui. Mais elle ne s'énerve pas, jamais. Elle restera toujours d'un calme imperturbable, presque dérangeant. Et elle possède un sang-froid incroyable, même lorsqu'elle tue quelqu'un. Il y a en effet, comme de nombreuses personnes, plusieurs choses qui l'énervent, comme se faire battre, manipuler, se faire prendre à son propre jeu, ou bien tout simplement au combat. Ne pas réussir à tuer quelqu'un et devoir fuir. Et ce dernier mot aussi, "fuir", ça l'énerve au plus haut point.

Solitaire - C'est sûr qu'une Goule aime tuer pour se nourrir ne sera pas très sociale. Peu joueuse, elle déteste aller parler aux gens. Par ailleurs, Alarya est aussi romantique qu'un kangourou constipé. Pour elle l'amour est définitivement plus endommageant et retardant qu'autre chose. De toute façon, il pousse toujours à faire des choses complètement dingues, et à être aux pieds de la personne. La Goule aime rester seule de nombreuses heures, voire des journées entières. Et jouer, c'est beaucoup trop "gamin", et ça ne sert à absolument rien, comme l'amour. C'est inutile.

Téméraire - En effet, il faut avoir un peu de courage pour aller dans les maisons des gens tuer leurs habitants. Hésiter, ça sert à rien de toute façon, soit tu le fais, soit tu ne le fais pas, sinon tu perds ton temps, et le temps c'est de la bouffe. Autant faire ce qui n'est pas encore à faire, après tu le regretteras. Alarya a un peu peur, secrètement, des regrets. Alors, pour elle, la seule solution est de foncer, de ne jamais regarder en arrière.

Curieuse (cultivée) - Alarya aime découvrir le plus de choses possible, lire des livres, et apprendre de nouvelles choses. Après tout, la meilleure façon d'être puissant c'est la connaissance. Elle est consciente d'être intelligente, mais sait que si elle n'apprend pas de nouvelles choses, cet avantage s'évaporera comme ses parents décédés. Lors de ces nombreuses heures qu'elle passe seule, la seule façon de s'occuper est de saisir un bon vieux livre, et de se plonger dedans. Elle n'en ressort que plusieurs heures plus tard, principalement à cause de la faim.

Froide - Difficile à approcher, ceci dû en partie par son physique (voir plus bas). Elle reste très distante avec les gens, ses "amis", tout le monde. Elle aime peu avoir des relations spéciales avec les gens, et préfère éviter de devoir souffrir à cause de ses dernières. De nombreuses personnes lui ont dit que les relations avec les gens étaient des "opportunités". Alarya ne comprend pas cette mentalité, et préfère croire qu'elles ne sont que de lourds fardeaux.

"Drôle" - Un humour noir, disons. Sarcastique, Alarya n'est pas totalement froide, et aime avoir des moments de joie avec les autres. Mais il s'agit là d'un humour "mature", et les blagues que l'on croise souvent dans la vie de tous les jours l'énervent plus qu'autre chose. Elle n'hésite pas à rabaisser les gens, même les plus importants, sans hésiter. Elle se fiche totalement de leur réaction. Son humour est subtil, difficile à comprendre, et peut en blesser plus d'un.

Maniaque - Elle a ses jours, on peut le dire. Des fois, on pourrait la comparer à une tueuse en série, avec ce sourire presque démoniaque sur les lèvres. Les yeux presque emplis d'une démence étrange, surtout avec ces yeux rouges.

S'écarte souvent du groupe - Dans les fêtes, il y a toujours ces deux personnes qui parlent sur un mur, sans jamais se rapprocher du centre, et qui restent là pendant toute la soirée. On pourrait comparer Alarya a ses gens. Quand elle était petite, il y a avait ces gamins qui trainaient ensemble toute la journée, et il y avait deux autres personnes qui étaient complètement rejetée et qui essayaient de se faire des amis. La Goule était comme ces gens-là mais elle n'essayait pas de se faire des amis, elle.

Vengeresse - Après tout, il ne sert à rien de s'énerver ou de pardonner la personne. Il faut faire du mal, comme ça elle comprendra. C'est comme ça qu'Alarya fonctionne. La vengeance est le seul moyen de faire comprendre aux gens ce qu'ils leur on fait. Comme ça, ils regrettent et se mettent à ses pieds, et elle adore ça. Ses vengeances sont généralement violentes, comme des coupures profondes, des choses similaires. L'autre possibilité est qu'elle fasse de la violence mentale. Elle a la capacité de presque savoir faire de la "torture mentale". Certaines personnes racontent qu'elle peut presque faire ressentir la douleur sans en faire. Elle sait user des faiblesses des gens pour avoir un avantage sur eux.

Manipulatrice – En effet, Alarya sait, comme dis plus haut, user des faiblesses des autres. Elle sait faire semblant d'être amie, et a un jeu d'actrice très bon. Elle sait jouer la faiblesse, la joie, la peur, et la colère. Elle se cache sous de nombreux visages, parfois joyeuse, parfois mielleuse, et des fois presque amoureuse. Par sa beauté, de nombreux hommes ont parfois tenté de la «  draguer ». L'amour est si utile pour manipuler... Il suffit de dire que si untel fait quelque chose, elle succombera. Tout est si simple, lorsque les gens sont à vos pieds.

Alarya Domarios, une Goule. La Goule était une personne intelligente, souvent qualifiée de surdouée, partageant comme famille un Clan très connu dans son village natal. Qui dit connu dit aussi particulièrement détesté. Cette famille, le Clan Domarios, était crainte de n’importe qui depuis les temps immémoriaux. Alarya était fille unique, et ses géniteurs étaient Héritiers du Clan. Étant seule enfant de ses parents, la Goule était prête à prendre en main cette lourde responsabilité qu’était de diriger une famille. Le village, les enfants de l’école, la connaissait comme “la Goule”. Ce titre lui était dû au fait qu’ils étaient la seule famille de Goule, autrement dit les seuls propriétaires de cette race de tout le village. Les Domarios n’étaient que Goules. Peu de gens connaissaient réellement son nom. Ce surnom peu apprécié par cette dernière, “la Goule”, avait surtout pris le dessus sur ce qu’elle était réellement. Alors les professeurs, les élèves pour lesquels elle n’éprouvait que très peu d’affection, l’appelaient ainsi, la considérant différente de leurs personnes.
Ainsi commence l’histoire d’Alarya Domarios, Future Héritière du Clan Domarios, fière Goule, à quelques secondes de sa naissance.

Un dernier cri de douleur retentit dans la chambre d’Iris Domarios, goule. Quelques minutes plus tard, des larmes de douleur se séchaient à la vue d’un bébé entre ses mains, vivement remplacées par des gouttes de bonheurs qui coulaient sur un sourire joyeux, fier qui s’étirait sur ses lèvres. Puis ses lèvres s’ouvrirent dans un effort qui lui semblait surhumain, pour laisser place à une voix enrouée par ses cris, se fermant et s'ouvrant pour former une phrase presque inaudible :
“Elle est … L’Héritière de notre beau Clan. Alarya, notre avenir… Repose sur toi.”
Iris esquissa un léger sourire, contractant le plus de muscle de sa bouche que sa fatigue lui permettait pour regarder sa fille, le regard plein d’un bonheur amer. À côté d’elle, son père posait sa main sur celle de sa femme, ses yeux emplis d’une fierté incomparable, et de toutes sortes d’émotions que pourrait ressentir un père à la première vue de sa fille. Tandis que le bébé gazouillait joyeusement, ses parents entreprirent de se promettre de s’occuper d’elle au mieux, de sorte à ce qu’elle devienne la meilleure chef de famille que le Clan Domarios eût jamais connu.

Les jours suivants, ils lui apprirent à manger, à faire tout ce qu’un bébé exemplaire devrait savoir. Elle semblait être une personne relativement talentueuse, douée, qui aimait se nourrir de corps humains, préalablement mâchée par sa mère, qui s’occupait du mieux qu’elle pouvait de sa fille. Peu à peu, les parents de ce qui deviendrait la Goule, apprenaient à cette dernière comment tuer. Elle apprit plutôt vite à parler et à comprendre ce qu’autrui disait. Alarya comprit rapidement qu’elle devait survivre, et que pour se faire elle devait tuer les Humains, et les races différentes de la sienne. Ses parents voulaient faire d’elle une personne très intelligente, c’est pourquoi ils commencèrent à l’éduquer bien avant l’âge recommandé, c’est-à-dire vers trois ans. En effet, Alarya sera par la suite considérée comme “extrêmement précoce” pour avoir commencé ses premiers enseignements vers cet âge. À cinq ans, elle savait très bien écrire et lire, et elle commença à aller à l’école. Dès son premier jour, les élèves posaient sur elle un regard curieux, intrigué. “Une goule ? Qu’est-ce ? Pourquoi elle est plus intelligente ? Elle est bizarre non ?”
Ainsi furent les premiers jours de la vie d’Alarya, qui se compliquera par la suite.

Ses parents décidèrent donc de faire son enseignement à la maison. Alarya grandissait bien, et apprenait à se battre et à tuer. Pour se nourrir, son père lui rapportait chaque soir un humain, venant du village et de ses environs. La Goule n’avait aucun mal à manger ceci, elle n’avait qu’en tête qu’obéir à ses parents et faire ce qui lui disait qui était bon de faire. Un jour, ses parents lui dirent que s’ils venaient à mourir, elle devrait prendre la famille en main, peu importe ce que les gens lui disaient, peu importe ce qu’elle pensait, c’était son devoir d’Héritière du Clan Domarios. Mais peu à peu, elle venait à penser : “N’est-ce pas mal de leur arracher la vie pour mon simple plaisir, ma simple satisfaction personnelle ?” Mais la faim l’emportait toujours. Ses parents qui lui amènent un corps le soir. Manger, toujours manger. Alarya atteint ses 13 ans, en bonne santé. Un soir qui semblait être tout comme les autres, son père revint, les yeux abrités par une lueur démoniaque. Il titubait d’un bout à l’autre de la pièce qu’était le salon, venant se cogner contre un mur, tombant au sol, se relevant. Il tenait des propos insensés, comme :
“Pas réussi… Manger…”
Puis il s’écroulait au sol et rampait. Soudainement, il tourna la tête vers sa fille, et s’écria :
“Qui es-tu ?! Qui es-tu ?! C’est ma maison ici…”
Alarya, désemparée, courut dans sa chambre, qu’elle verrouilla plutôt deux fois qu’une. Elle se laissa glisser sur le mur, et se demanda : “Que s’est-il passé ?”
Deux heures plus tard, la faim lui tenait le ventre. Elle descendit les escaliers, espérant que son père serait endormi quelque part, et qu’il se réveillerait normalement. À la place de cette vision, qui semblait être en quelque sorte une pensée positive, elle vit son père, la tête légèrement enlevée de ce qui la retenait, une gerbe de sang coulant partout le sol du salon. À côté de cela, un couteau, le plus tranchant de la cuisine, posé dans sa main. Alarya était tétanisée. Horrifiée. Ses yeux étaient écarquillés, sa bouche légèrement entrouverte. Elle s’approcha lentement du cadavre, incrédule. Chacun de ses membres tremblaient, ses mains moites, blanche, le visage d’une pâleur incomparable. Elle se laissa tomber à genou, posant sa main tremblante sur le buste de son père. Elle ne pleurait pas, trop horrifiée pour cela. Puis elle poussa un long cri de douleur, qui retentit dans toute la maison. Alarya ne cherchait même pas à apprendre ce qui c’était passé. Elle resta dans cette position indéfiniment. Trente minutes, une heure ? Plus ? Elle n’en avait pas la moindre idée. Ce qui était sûr, c’est qu’à un moment donné, sa mère a ouvert la porte, et vu le cadavre sans vie de son mari. Elle fronça les sourcils, puis s’écria :
“Non… Non !”
Et Iris s’empressa de courir à son chevet. Sa fille semblait perdue, ne prêtant même pas attention à sa mère qui venait d’arriver. Cette dernière commença à pleurer toutes les larmes de son corps, venant poser sa main sur le cœur de son époux, semblant espérer au fond d’elle qu’il battrait encore. Mais évidemment, la peau était froide, dépourvue de vie. Puis elle se tourna vers Alarya et dit d’une voix faible :
“Ma chérie. Je ne peux survivre sans lui…”
La Goule tourna la tête vers sa mère et lui dit :
- Je  peux prendre en charge la responsabilité du Clan.
Elle décida de se résoudre à cet événement dramatique et de prendre en main sa vie. Désormais, elle savait tuer, et pouvait se débrouiller seule et prendre soin de sa mère.
Oui, elle était triste, tétanisée par la mort de son père. Mais il fallait se rendre à l’évidence : “Ce qui est fait, est fait.”

C’est ainsi qu’à treize ans, une jeune fille tout à fait normale, brillante et talentueuse, dû prendre en charge une famille, un Clan, en même temps que ses études, et du soin mental qu’elle devait apporter à sa mère qui se faisait vieille. Alarya commençait à devenir une femme imposante. Elle voulait devenir soigneuse, et passer le plus clair de son temps libre, qui était d’ailleurs très rare, à étudier les herbes médicinales.
Mais un jour, Alarya marchait dans la rue tranquillement, lorsqu’un homme qui était inconnu à ses yeux vint se planter bien face à elle, un couteau en main.
- Je … Peux vous aider ?, demanda la Goule.
- Il se trouve qu’hier… Vous avez tué mon frère pour vous nourrir.
- Vous effet, je suis une Goule.
- Vous êtes un fléau !
Et il lui bondit dessus sauvagement, enfonçant deux fois son couteau dans sa joue. Surprise par cette attaque peu commune, Alarya vu sa joue verser du sang. L’homme tomba au sol, puis lança son couteau en direction de sa gorge. La Goule écarquilla les yeux, tout était si rapide, si inattendu. Était-ce la fin de sa vie ? Elle ferma ses yeux, instinctivement, poussant un cri, les mains faces à son visage.
Une minute. Le couteau file dans l’air, tranchant ce dernier par cette lame si coupante.
Deux minutes. Toujours pas ? Alarya s’attend toujours à mourir d’une seconde à l’autre.
Trois minutes. Un cri retentit.
Les yeux d’Alarya s’entrouvrent doucement. Qu’est-ce qui est face à elle… ? Du… Sable ?! Puis elle relâche ses mains, et voit son agresseur au sol, ou du moins ce qu’il en reste. Une pile de sable était posée sur la rue, et une main en sortait, comme pour s’extirper de cela.
Alarya pousse un cri. Puis elle baisse la main, le sable se baisse aussi. La Goule ferme les yeux, et le tas de sable se réduit à néant. Elle ouvre la bouche. Est-ce possible ? Ça dépasse les lois de l’Univers.
-Je maîtrise le sable ?
Puis elle pousse un long cri de guerre, et lève ses mains le plus haut qu’elle peut, faisant alors apparaître un mur de sable. Elle écarquille les yeux. C’était donc vrai. Alarya ferme les yeux, et refait disparaître sa création, venant alors courir vers chez elle. Arrivée dans sa chambre, elle sortit une feuille, et un crayon.

“Salut ? Moi c’est Alarya. J’ai 15 ans, je suis une Goule. Mon père est mort parce qu’il était fou… Et moi je suis chef de famille depuis mes treize ans. Je m’occupe de maman, elle est vieille. C’est donc possible qu’elle vire à la folie elle aussi. Et crois-moi je n’ai pas envie que ça arrive. C’est la première fois que je fais ce genre de truc, écrire sur une feuille de papier mes sentiments. Les gamins de l’école faisait ça aussi. Enfin bref, je suis là pour te raconter quelque chose d’incroyable. Je me suis fait agresser dans la rue, j’ai deux grosses plaies sur la joue. Et sans même le vouloir, j’ai englouti mon agresseur dans du sable. C’est plutôt… Inhabituel n’est-ce pas ?”
Elle sourit, regardant son texte, soulagée. Alarya trouvait que ça lui faisait beaucoup de bien d’écrire tout ça, même si c’était si court.

Un an plus tard.
- Je vais aller chercher des herbes dans la forêt m’man ! Je reviens vite ne t'inquiètes pas !
- À plus tard, chérie.
Et c’est ainsi qu’Alarya court vers la forêt verdoyante au nord du village. Elle y restera quelques heures, cueillant chacune des herbes qui lui semblaient bonne. Cependant, un bruit semblant animal attira son oeil vers les arbres. Un petit koala la fixait, le regard amusé. Intriguée par cet animal qui était le premier de cet espèce qu'elle voyait, elle s'en approcha. L'être inconnu sauta de son perchoir pour venir atterrir sur la tête de la Goule. Celle-ci, surprise par l'animal, poussa un cri de surprise.
Celui-ci semblait toujours sourire d'un air espiègle en la regardant. Alarya le reposa au sol, et continua sa cueillette. Sans le remarquer, le koala la suivait toujours.
Et lorsqu'elle rentra chez elle, il était avec elle ! Elle décida donc de s'occuper de lui, après tout ça lui ferait de la compagnie. Elle le nomma «  Koko ».
Elle passait de nombreuses heures à s'occuper de lui. Sinon, elle étudiait avec lui, cherchait des herbes médicinales ou elle s'entraînait à sa magie.
Ainsi était le quotidien d'Alarya jusqu'à ses 19 ans.

Sa mère mourut de vieillesse à ses 18 ans. Alarya continua à gérer sa famille, organisant des réunions tous ensemble le plus souvent possible. Elle faisait tout pour que sa lignée continue. Et elle poursuivit son rêve de devenir soigneuse, accompagnée de Koko.
Elle voulut voyager, aller plus loin, et alla à travers les mondes qu'elle explora. Elle aimait découvrir de nouveaux paysages, et continuait à apprendre sur son chemin, accompagnée de son familier, Koko.
L'histoire d'Alarya Domarios arrive à sa fin. J'aimerais continuer à vous la conter mais je ne peux pas : désormais il va falloir que vous la rencontriez. Je vous souhaite une bonne journée, peu importe qui vous êtes.

En espérant que vous ayez apprécié l'histoire d'Alarya Domarios, Fière Goule et Héritière du Clan.