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Le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y succomber ♥ | Anwën Añandill | Post Vacant
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Dim 19 Fév - 0:03
ANWËN AÑANDILL
Zalensith - 10e Commandement : Altruisme - Luxure




In few words... Who are you ?

Añandill
Anwën
27 ans (V) - 32 ans (E) - 41 ans (U) - 54 ans (K)
Eclypteth
Féminin
65 Kilogrammes
1mètre 75
Bisexuelle
Succube
Quetzalcoatl - Mythique





I might be crazy don't mind me !

Big Girls Cry
Bad Habits


Un être vivant est constitué de chair, de sang, et lorsqu'il est chanceux, de magie. Mais, aucun être ne nait sans faiblesse. Aussi puissant soit-il, ou aussi magnifique et influent, au fond de lui, il y a bien une chose, une simple chose dont il a une sainte horreur. Pour la majorité d'entre-eux, ce sont des choses insignifiantes, mais parfois dangereuses, comme des araignées, des serpents, ou encore le sang. Il est normal d'avoir peur de quelque chose, mais il est encore plus normal d'avoir peur de mourir. La seule et unique phobie de la créature respirant la luxure est bien celle-ci.

Possédant une magie noire et plutôt poussée, elle n'est pas sans savoir que sa mort se rapproche vivement, pire encore, qu'elle sera effroyable. Est-ce la peur de la douleur ou encore de ne plus exister qui s'insinue dans ses veines, ou bien est-ce quelque chose de plus viscéral encore, s'infiltrant partout, dans les pores de sa peau, caressant ses courbes et ébouriffant ses cheveux de jais. Pour résumer, et éviter les épilogues trop importants à ce sujet, oui, Anwën a peur de mourir, de quitter ce monde, -ces mondes !- sans avoir pu venir à bout de ces objectifs, de souffrir le martyr avant de sentir son coeur lâcher, puis ne plus rien sentir du tout.

Elle a peur de ce qui se trouve après, pas par culpabilité, mais plutôt parce que personne ne sait. Même les nécromanciens ne peuvent dire ce qu'il se passe une fois l'être vivant plongé dans ces enfers putrides et indésirables qu'est la mort. Plutôt que la mort en général, c'est évidemment sa propre mort qui tourmente ses nuits les soirs d'orage, elle s'est affranchie du sentiment lié à celle des autres. En d'autres termes, la succube à peur de mourir.

Outre cette phobie, il existe un passe temps que la jeune -jeune ?- femme apprécie plus encore que l'affiliation de son rang. Son plaisir personnel n'est donc point tiré uniquement de l'organisation crépusculaire, ou des moments classés intimes. Nous nous sommes compris, il existe sans surprise en l'incarnation de la luxure un plaisir vicieux pour la chair, ancré dans ses veines depuis le jour de sa conception, ne se repaissant pas d'un seul apport en œstrogène ni d'un seul partenaire, prenant un véritable plaisir dans le sexe, quelque soit la pratique ou le genre de la personne. Mais la dépravation n'est pas le seul moyen d'enrichir ses journées, vous imaginez bien qu'un corps a besoin de repos, et qu'on ne peut donc pas s'adonner à ce genre de pratiques sans interruption.

De plus, contribuer à la réussite du crépuscule est également une activité à temps plein, et donc, rares sont les moments où s'adonner à autre chose est possible. C'est donc pourquoi, le peu de temps qu'il reste dans la vie de la zalensith, est dédiée aux animaux. Surtout aux reptiles. Car oui, on peut être un ami de la faune et la flore sans être une personne appréciée de la société. La succube apprécie le temps passé dans la nature, poser son esprit, remettre les flux en place, inspirer... Surtout si ces moments se font en compagnie de petites créatures lui permettant un contact visuel, et parfois même, tolérant sa proximité.
Une autre question récurrente lorsqu'on parle de créatures vivantes, et même plus, dotées d'intelligence, les qualités et les défauts. Cependant, tout n'est question de point de vue, et plus encore, l'un n'existant pas sans l'autre, il faut forcément contrebalancer l'un, par un autre opposé. Pensez-vous qu'un homme puissant considère que son défaut est l'avarice ? Loin de là, il appelle ça de l'ambition, et même, de la réussite. Alors, d'un point de vue objectif, que pouvons-nous établir de la succube ? Sa principale qualité, ou son principal défaut, est sa facilité à paraître aimable et inoffensive auprès des gens, une facilité d'adaptation pour mieux susciter la gentillesse d'autrui. Cette qualité est relativement utile au sein du crépuscule. Pourquoi ? Parce prétendre être une personne sans l'être réellement n'est-elle pas la capacité parfaite dans un monde en guerre ? Retourner sa veste au bon moment, prendre l'avantage, et gagner à coup sûr, voilà ce à quoi aspire la personnalité de Luxure. Un autre aspect qui cette fois n'est pas plus une qualité qu'un défaut, c'est la capacité à entretenir un contact physique avec une personne. Que ce soit pour parler, ou plus si affinité, la demoiselle possède une aisance au contact très poussée, sûrement la nature de succube qui refait surface. Enfin, vint le pourquoi du comment. Son défaut ? Un des sept péchés capitaux. Elle en est l'incarnation à temps complet, la luxure respire par chacun des pores de sa peau, émane de son corps, est son corps. Elle ne jure pratiquement que par la chair, une négociation périlleuse ? L'oreiller règlera ce conflit. Une source de désespoir ? Les draps sont là pour aider. Une consolation à apporter ? Le matelas présent pour éponger. C'est un défaut que d'apprécier les plaisirs présents en ces mondes, n'est-ce pas ? Pourtant, c'est ce côté qui est le plus présent chez elle.





Smoke and Mirrors

Hocus Pocus !
Alakazam


Necrosis :
C'est une magie perverse et douloureuse que manipule avec précautions la jeune femme incarnant le péché de luxure. En effet, la nécromancie n'est conseillée à personne, en général, et cela se confirme un énième fois ici. La magie de la demoiselle réside dans le contact physique. Non pas sexuelle, malgré les penchants de la concernée. En quoi consiste cette magie ? C'est plus simple qu'il n'y paraitrait. Lorsque sa magie est active, le contact avec ses mains ou sa bouche -lèvres, dents et langue comprises- crée une nécrose sur la zone touchée. Vous n'êtes point sans savoir que la nécrose est une mort cellulaire, et est censée proliférer à une vitesse fulgurante.

Cependant, le maléfice n'est pas aussi perfide qu'il pourrait y paraître. La nécrose ne touche que la zone qui a été en contact avec les parties citées antérieurement. Cela veut dire que, si la zone touchée est le bout de l'auriculaire, il n'y aura que cette zone qui sera en proie à la nécrose. Ce qui va sans dire, c'est que, plus la zone touchée est grande, plus le temps de récupération est long. Et, la nécrose ne se répandant pas, l'auriculaire ne sera pas perdu, en d'autres termes, la peau n'est pas "rongée" par la nécrose, et ne sera jamais en mesure de le faire.

Le temps du contact est également primordial, une simple caresse ne causera pas une nécrose aussi douloureuse qu'un contact prolongé à l'extrême, qui lui, causera en causera d'atroces. Mais avouons que ce cas est assez rare, puisqu'un ennemi n'est pas censé se laisser toucher de manière infinie ! De plus, contrairement à la nécrose naturelle, celle-ci se résorbe, peut-être dû au manque d'expérience de son possesseur... ou peut-être pas. Les plus grosses nécroses peuvent mettre un laps de temps assez étendu à se résorber, non sans douleur, tandis que les plus infimes mettent quelques instants, en général quelques minutes, ou moins que cela encore. Comptez donc un temps très court pour un contact normal -peut-on réellement qualifier ça de normal ?- ou plutôt, moyen. Pour les objets, ils ne sont affectés que s'ils sont fabriqués en tissus organiques, et encore, il faut auparavant l'accord du joueur pour autoriser le contact et donc, une dégradation à moindre échelle dudit objet...

Malgré la résorption des zones nécrosées, il subsiste une sorte de cicatrice, la peau ici est rougie et le restera un moment, voire indéfiniment... De plus, il existe plusieurs niveaux d'atteinte. Un contact long pourra par exemple nécroser uniquement l'os, et donc créer une souffrance inexpliquée sur le coup.

D'une façon infectieuse cette fois, elle peut contaminer un individu qui portera une nécrose contagieuse, ainsi, chaque personne entrant en contact avec la zone infectée, développe une nécrose, sans que la demoiselle ne soit la véritable cause de celle-ci, son pouvoir reste cependant activé dans la zone de contagion, ce qui lui consomme une dose de magie non négligeable. La personne développe une nécrose équivalente au temps passé en contact avec celle qui l'a contaminé, il n'y a donc que cette zone qui est contagieuse, et la récupération des individus contaminés par son biais est donc soumis aux règles de base composant la magie. Cette technique reprenant le principe même d'une épidémie n'est cependant utilisée que pour des cas extrêmes car son contrôle est aléatoire, et la succube se refuse à son emploi. Pour finir, la nécrose s'effectue comme dit sur des matières organiques, elle peut donc nécroser de la nourriture ou certaines plantes, sans abus, histoire de limiter par exemple des vivres à un groupe ennemi...

Mais qui dit grande magie, dit grands contre-coups. Plus la magie de la demoiselle est utilisée, plus son corps sera en proie à de la nécrose elle aussi, sa propre nécrose. Autant dire que la préparation, l'utilisation et la récupération sont des facteurs non négligeables pour la porteuse. Celle-ci se doit de minorer les utilisations tout en essayant de dompter sa magie, pour, peut-être un jour la pousser d'avantage, en attendant, sa vie compte peut-être plus qu'une poignée de main. Vous ne trouvez pas ?

Ensuite, côté statistiques, une personne plus endurante et résistante que la porteuse voit donc la blessure amoindrie et ses temps de récupérations écourtés. Ces techniques peuvent donc être puissantes, mais dépendent de nombreux critères, ce qui rend cette magie très aléatoire et épuisante.
Pour une belle créature de la sorte, n'auriez vous pas pensé à une petite dague de pacotille, ou pire encore, dont le manche est recouvert de pierreries ? Non ? Tant mieux, car ce n'est effectivement pas le cas.

Ces deux bras supportent bel et bien une lance, de type Fauchard, se rapportant aux lances des contes asiatiques. Le manche est sombre, et son bois -sûrement de l'ébène- est gravé d'une multitude de symboles, assortis à ceux présents sur les ornements et les plumes de son familier.

Aux extrémités, une fine couche de feuilles dorées sur deux petites excroissances boudinées et circulaires, sans oublier la lame. Elle a la forme incurvée du fauchard basique, mais tout donne à croire que les forgerons se sont donnés à coeur joie, un tranchant, un biseaux, des courbes, et des gravures sur le plat de la lame, c'est un travail d'orfèvre qui a été fait sur cette lance, petit bijoux d'arme blanche, assez léger pourtant, et donc parfait pour ces mains fines et douces, ne demandant qu'à planter la pointe de l'arme dans votre flanc.





You can call me Monster


Comment introduire une créature telle qu'est la succube ? Mentalement parlant, il est difficile de dresser un portrait fixe et fiable, mais nous nous efforcerons de nous rapprocher de la vérité tout au long de ces lignes. Il faut tout d'abord comprendre que toute la psychologie de la demoiselle aux courbes généreuses se base sur la tromperie. Le principe est simple, comme une fleur carnivore, il faut savoir distiller un doux parfum, pour qu'aucune proie ne passe au travers du filet. Alors, pour se faire, notre belle et douce silhouette sait se parer de mille atouts.

Dans un premier temps, lorsqu'on ne connait pas Anwën, il est difficile de la cerner, pour la simple et bonne raison, qu'elle fera tout pour garder un avantage certains sur votre petit corps. Comment ? Eh bien, ce petit sourire et ce regard bienveillant, sont là pour vous faire accrocher. Il faut absolument que vous croyiez dur comme fer qu'elle est bénéfique pour votre santé, vos projets, ou tout simplement comme amie. Ah, ce que la nature est belle, à placer des prédateurs derrière chaque buisson.

Revenons à nos moutons, ou plutôt, au loup qui les guette. Évidemment, on ne plait pas à tout le monde avec un sourire et un battement de paupière. C'est pourquoi, le point le plus important de la mentalité de la luxure, est l'adaptabilité. Telle un caméléon, elle manipule votre esprit, s'insinuant lentement dans votre vie comme le serpent commençant à enrouler le rongeur entre ses anneaux. Ne vous a-t-on jamais dit que dehors, c'était manger, ou être mangé ? C'est exactement par ce raisonnement que ce trait de caractère se résume. Anticiper les réactions et les interpréter à temps pour se comporter comme la plus parfaite des personnes à vos yeux, voilà comment agit la plante carnivore surnommée luxure. C'est donc sur ce seul point, que la personnalité entière s'établit.

Mais, ne nous emballons pas trop vite, si le piège fonctionne, c'est dans un but précis, n'est-ce pas ? Eh bien oui, et le but dans tout ça, c'est de vous faire adhérer à ses projets et envies, de près, comme de loin, ce sont des fils de marionnettes qui s'installent entre ses mains. Vous n'êtes qu'un pion sur un immense échiquier, et à son bon plaisir, vous terminerez en bonbonne de nourriture vivante, ou en petit chien remuant la queue pour qu'on lui lance le bâton. Ses humeurs varient donc en fonction de son interlocuteur, et passer d'une colère noire à une joie flagrante est chose facile pour ce joli minois. Mais, ce n'est point que la bête est lunatique, oh non, c'est tout simplement l'intelligence d'un animal cherchant à arriver à ses fins.

L'instinct animal, nous en arrivons là. La jeune femme possède en effet un instinct bien développé. Ses pressentiments, bons comme mauvais sont en général fondés, et ont généralement une conséquence physique bien réelle. Ce qui, souvent, lui permet de retourner sa veste et de se tirer d'affaire bien aisément. Car oui, la peur de sa propre mort pousse l'instinct de survie de la demoiselle à son paroxysme en temps de crise. Alors, pourrait-on dire que ce personnage féminin est lâche et sans aucune once d'honneur et de courage ? Non. Il faut simplement savoir, que le cercle de confiance lorsqu'il s'agit des relations de la demoiselle, est restreint.

En effet, il est plus facile d'abandonner des êtres qui n'importent peu, ou pas du tout, que des fidèles compagnons de routes, collègues, et plus si affinité. C'est donc la simple et bonne raison pour laquelle, il est facile de juger la succube de lâche et insensible, alors qu'elle n'est que... sélective. Bien au contraire de la lâcheté, au fonds d'elle-même, cette créature a une force mentale immense, si bien qu'elle peut embrasser sans aspirer la vie systématiquement.

Pour continuer, en réalité, on peu parler de fourberie. Car oui, pour obtenir ce qu'elle désire réellement, elle serait prête à tout, sauf à mourir. Il est donc sensé qu'elle tente de vous manipuler, vous et votre entourage pour arriver à son but. Quel qu’il soit. Mais, il y a bien un point de sa psychologie qui correspond à chacune de ses facettes, car son titre en est le résumé. L'amour de la chair, la passion, les effusions de sentiments, tout ce petit monde forme ce que préfère de loin la succube. L'amour brute, l'amour vache, l'amour à sens unique, l'amour animalisé, il y a une palette immense, et chacune de ses opportunités est une façon pour elle d'arriver à ses fins, de se faire plaisir, et même de manger.

Autrement dit, cette passion du sexe est l'essence vitale de ce personnage. Sans elle, Luxure ne serait rien qu'une femme bien en forme, sans elle, tout une personnalité serait morte, morne, et sans finalité. Il ne faut pas oublier également le côté théâtral, et le goût de la mise en scène de mademoiselle Añandill. Son estime, bien trop haute, d'elle-même la pousse à exagérer, se mettre en avant, et à n'en pas démordre. Car oui, elle est obstinée, on le répète sûrement.

Enfin, la véritable personnalité de la demoiselle. Depuis maintenant une longue année terrienne, le corps féminin fulmine, jure et maudit. Ce n'est plus du tout la bonne personne qu'elle était auparavant. Ses paroles se font glace, ses yeux aussi clairs soient-ils sont abyssaux, et le son de sa voix est un brasier à rouvrir les plaies, à renforcer les maux. C'est une tête pensante et intelligente, qui sait ce qu'elle veut, et c'est sûrement pour ça que son ambition est grande et sans limite -ou presque-. Ce que la vengeance peut vous faire faire ! Car oui, ses motivations sont tout aussi détestables que sa façon d'être. Après tout le vice n'est-il pas partie intégrante d'un organisme vivant et doté d'une quelconque intelligence ? Il est fréquent également qu'une pointe de colère surgisse dans les suites d'événements, car la jeune femme est capricieuse, et très pointilleuse, et il n'est pas conseillé de n'en faire qu'à votre tête, histoire de ne pas vous attirer ses foudres.

D'ailleurs, il est vrai que faire confiance à cette créature lorsque vous ne la connaissez pas est une erreur sans nom, mais, il est également vrai qu'elle-même ne fait pas confiance facilement, du moins, depuis qu'elle possède le titre de Zalensith. Cependant, lorsque cette confiance est acquise et mutuelle, elle est inébranlable, et seule une trahison pourrait la rompre. Mais, c'est comme avec les serpents venimeux, vous n'avez qu'une seule chance de l'attraper. Une fois la confiance rompue, impossible de recoller les morceaux, ils sont si minuscules que réussir à adresser la parole à cette personnalité, une fois la trahison effectuée relève du miracle.

Mais il ne faut pas s'arrêter à ce mauvais caractère, car, certains bons côtés existent. Comme dit, lorsque la confiance est établie, un lien spécial se tisse entre les deux personnes. Anwën se révèle donc une amie fidèle et une confidente muette, avec une capacité d'écoute épatante. En plus d'une amante épanouie, elle se révèle également une excellente négociatrice et une femme de tête parfaite, aux épaules solides pour réceptionner les responsabilités. Auprès des péchés capitaux, et du Prêcheur, elle se distingue également par une adhésion totale mais point docile. Elle possède son caractère, mais, malgré cette vanité oppressante, son efficacité n'est pas à sous estimer.

Et vous, après toutes ces attentions particulières sur sa mentalité, comment la verrez-vous ? Saurez-vous dompter cet animal ? Cette veuve noire bien décidée à perdurer ? Vous seul pourrez nous le dire !




I'm in love with the Shape of you


La lumière, aveuglante, perçante et meurtrière. Comment en êtes-vous arrivé à subir le contact douloureux des sources lumineuses ? Arrêtez de vous défiler en clignant des paupières si longuement, ouvrez donc les yeux. Que voyez-vous ? Si vous voyez au moins quelque chose ! Cette pièce, ces contours, tant de choses que vous ne connaissiez point auparavant. C’est sûrement grâce à ça que votre raison s’empare de cet amas de neurones endolori pour donner du sens à votre fonction encéphale. Vous n’êtes pas dans vos draps, d’ailleurs, ce n’est même pas votre côté du lit. Alors dans un mouvement désespéré vous vous redressez, c'est encore plus douloureux que vous ne le pensiez. Tout devient trouble, et tourne autour de vous, les mains sur les yeux et les tempes, vous parvenez enfin à regagner une vision stable.

Et maintenant, que voyez-vous ? Un mouvement attire votre regard, sur la deuxième place du lit, lorsque vous y risquez un coup d'oeil, vous distinguez donc une longue silhouette, théoriquement féminine, et, au vu des plis de la couverture, ce n'est pas la simple silhouette féminine que vous claquez à la porte le lendemain d'une soirée arrosée... De toute façon, vous n'êtes même pas chez vous ! Vous vous retournez donc vers le reste de la maison, partir, il en était encore temps...

Mais, alors que vous tentez de vous lever sans faire de bruit, votre cerveau décide que vous vous souviendrez de ce qu'il s'est passé la veille, et sûrement pendant une partie de la nuit. C'est d'abord une voix féminine, grave et chaude qui refait surface dans votre petite boîte crânienne. Des mots doux soufflés au creux de l'oreille, n'est-ce pas merveilleux ? Pourtant, au fond de vous, cela vous glace le sang. Que s'est-il passé avec cette jeune-femme pour qu'elle vous froisse autant...

Un autre flash, ces lèvres pulpeuses, presque carmin naturellement, formant une bouche grande mais jolie et attirante. C'en est hypnotisant, mais, encore une fois un frisson vous empêche d'apprécier à sa juste valeur ce trésor. Vous secouez la tête, qu'est-ce qui vous arrive ?

Finalement, vous discernez ce visage, ce joli visage, celui qui vous a arraché mille soupirs et encore d'autres baisers. Il y a en effet cette bouche merveilleuse, qui est surplombée par un nez droit, fin, aux courbes douces, qui ne disgracie guère le visage fin, aux joues creusées très légèrement, et au pommettes hautes. En parlant de ces pommettes, elles soulignent divinement l'élément le plus troublant et inquisiteur de cette personne.

Ces prunelles aussi bleues qu'un lagon baigné par l'océan indien ou le pacifique de Vanerzame. Ils sont froid comme la glace mais suscitent en vous un brasier intarissable. Encadrés de longs cils profonds, son regard est perçant et ne laisse personne de marbre, il est baigné par une lueur étrange, que vous, misérable, vous ne sauriez décrypter. Encore au dessus, deux lignes fines et curviligne forment des sourcils nets et adapté à la forme de son visage, fignolant le tableau de vos souvenirs. Dessus, un front haut et dégagé laisse place à sa longue chevelure.

A-t-on déjà vu des cheveux si longs, qu'ils viennent se loger en dessous des lombaires de la demoiselle. Une raie coiffée au milieu, laissant un côté symétrique à sa longue masse ébène, voire nocturne. Ses premières mèches sont plus courtes, et servent à encadrer son visage comme on encadre une oeuvre d'art.   De ces mèches, vous pouvez distinguer des bijoux, souvent de larges créoles dorées, ou d'autres boucles d'oreilles massives, vous vous demandez par ailleurs comment des oreilles si menues et discrète peuvent supporter un tel attirail.

Ce visage parfait aux courbes douces, réside cependant sur un corps. Il est posé méticuleusement sur un piédestal. Vous vous souvenez d'avoir embrassé longuement ce cou hier, ni trop long, ni trop court, et assez fin. Cependant, vous aviez oublié à quel point le teint de sa peau était pâle. Une poupée de porcelaine, ni plus ni moins, tout aussi délicate, avec des rougeurs apparentes lorsque la gêne la gagne ; autant dire que ça ne doit pas arriver souvent. Si vous descendez les yeux, vous arrivez donc entre deux épaules, pas si frêles que cela, mais pas carrées pour autant. La trace des clavicules est juste assez prononcée pour rendre esthétique son buste.

Accrochés à ses épaules, de longs bras, finement taillés, où aboutissent deux mains, fourbes et généreuses, faisant de nombreuses merveilles avec ces doigts qui auraient pu appartenir à un pianiste ou autre musicien de l'entre-monde. Finalisés par des ongles longs et finement ornés de dessins ou de simple vernis, mettant la petite cerise sur le gâteau dont vous ignorez encore le nom. Mais, une image apparait devant vos yeux un instant, ces ongles de transforment en longues griffes similaires à celles des prédateurs félidés qui rôdent dans les forêts.

Les fruits, de nombreuses métaphores sont liées à celles-ci, et il serait simple de trouver diverses allégories du sein pour illustrer de manière exotique la poitrine de l'incarnation de la Luxure, qui ne pouvait pas trouver meilleure égérie que cette silhouette aux formes volumineuses. Malheureux, détournez vos yeux sales et impures de cette créature, vous ne méritez pas toutes les attentions que ce coeur généreux vous a offert, toute la nuit durant.

Ainsi, nous arrivons au corps en lui-même, vous arrivez donc à vous souvenir de la taille fine et longiligne de la demoiselle, pourtant toute en rondeurs. Un beau mètre soixante-quinze pour soixante-cinq kilogrammes, l'Indice de masse corporelle parfait, en soit. A vrai dire cette taille s'élargit sur des hanches généreuses et accueillante, vous donnant une vague idée des rondeurs formant le fessier de la succube. Mais, votre souvenir se focalise principalement sur ce qui se trouve entre les deux cuisses rondes, vous ne sauriez dire pourquoi... Allons, ne mentez-pas, vous le savez, en vérité.

De longues jambes, finement musclées terminent d'allonger cette silhouette interminablement attirante et bien en formes. Mais soudain, alors que vous vous rapprochiez de la porte, une main légère se pose sur votre épaule, et vous fait faire volte-face. Sans tarder, ces lèvres se collent contre les vôtres... Et peu à peu, vous sentez votre énergie quitter votre corps, lentement et sûrement, pour aller rejoindre le corps divin de... la succube ? Vous réalisez uniquement maintenant sa véritable nature.

Alors que tout devient noir et que votre corps s'écroule sur le sol froid et beaucoup trop ferme, un nom vous revient en tête. Anwën.




Once upon a time


(Pour plus de facilité, l'histoire s'écrit avec l'âge et un certain vocabulaire terrien.)

Dans une lointaine légende remontant à la religion chrétienne, il y aurait le paradis, et les enfers. Dans ces enfers, vivrait un ange déchu qui serait maintenant le maître des lieux, maître de la mort et de la damnation. De cet ange, naquit des maux, des démons, des êtes sans queue ni tête, et dans le cas échéant, aurait créé les succubes. Du moins, c'est ce qu'une population se plait à croire sur Vanerzame. Loin de vous l'idée des succubes effroyables se changeant en l'amante d'un homme pour lui soutirer la vie dans les draps. La réalité est cependant toute autre.

Le début de la vie de la succube se fit à Eclypteth, dans la région de Mu. On ne pourrait pas dire que cela fut le plus bel événement de la vie du couple qui en était à l'origine. En effet, l'accouchement fut très difficile, et les moyens de la famille modeste l'empêchait de subvenir à ce besoin de soins. C'est donc à bout de force et dans une dernière contraction que la mère de la petite perdit la vie, alors que le père serrait le corps frêle et immaculé de sa fille contre lui, alors qu'il ne pouvait même plus tenir la main de sa femme, maintenant défunte. Quel tristesse pour cette famille, qui avait perdu une fille, une belle fille, une tante, une soeur... Une épouse ! Le désespoir avait touché le père de l'enfant pendant des jours, si bien qu'aucun nom ne fut donné à l'enfant.

Une semaine à pleurer, deux semaines, bientôt un mois entier passa. Ne pouvant supporter la séparation avec sa femme, le jeune homme déposa l'enfant encore dépourvu de nom, devant une porte, enveloppée d'un linge. Il toqua à la porte, et se retira, s'isolant pour se laisser dépérir seul, n'ayant qu'une hâte, celle de retrouver son aimée.

La petite succube, elle, se retrouva dans une famille, qui lui donna un nom. Anwën serait ce nom. Et elle le porta fièrement. Durant son enfance comme son adolescence, elle fut heureuse. N'ayant aucun souvenir de ce qui s'était passé avant son arrivée, la famille ne lui confiant rien de sa vie volée, car ils estimaient qu'elle n'avait pas à être triste et qu'elle n'y était pour rien. Pourtant, un jour. Ce triste jour d'hiver où âgée d'à peine seize longues années, elle était entrée dans une pièce sans y être autorisée, et où elle entendit toute une conversation. On ne pourra pas lui mentir éternellement, disait la voix paternelle. Mais si, tu voudrais lui dire maintenant ? Elle partirait pleurer on ne sait où ! Hors de question. Répondait la voix maternelle. Alors, petite effrontée qu'elle était déjà, la succube s'était avancée. Qu'est-ce que vous devez me dire ? Osa-t-elle.

Les deux parents se retournèrent, la dame, qui était une fée, cacha sa bouche, stupéfaite, tandis que son incube de mari, lui, posa un regard furieux sur la demoiselle. Alors, d'une voix grave, il lui conta son histoire. Tandis que la succube pleurait, la fée baissait le regard, mais l'incube ne l'avait dévié aucune fois.

La jeune succube, pleurait, pleurait encore, et aucune main compatissante, aucune étreinte qui se voulait maternelle, ne suffit à calmer son chagrin. C'était un brasier de haine et de colère qui s'était ouvert. Elle mit des mois à s'en remettre. Mais, c'est un jeune homme qui réussit à la sortir de la misère. Plus elle se renfermait sur elle-même, et plus il venait l'embêter, lui parler, et à chaque fois qu'elle s'ouvrait à lui, il esquissait ces petits sourires dont lui seul avait le secret.

Comme vous le pressentez, Anwën en tomba amoureuse, d'un amour pur et sans limites. C'est à cet instant précis que les plaisirs de la chair se révélèrent pour notre protagoniste. Car oui, seize ans, on se pense adulte, on expérimente. S'en suivit une longue période où la demoiselle vécut d'amour et d'eau fraîche. Ce que l'enfance fait faire, c'en serait presque beau.

La demoiselle et son petit ami vécurent longuement ainsi, mais toujours sans s'accorder de baiser, la succube refusant catégoriquement de lui voler de l'énergie, et lui... préférant ne pas mourir si jeune. Cependant, au cours des effusions suivantes, le démon qui servait d'amourette à la succube finalement, décida de tester, prenant de cours la demoiselle. Voyant le plaisir que cela dégageait, la succube ne put s'arrêter, c'était comme demander à une junkie de ne pas prendre de la drogue, en lui préparant vous-même la dose sous ses yeux.

Elle sentit la vie de son compagnon entre ses doigts, et, incapable de s'arrêter, finit par relâcher le corps vide de toute vie, celui-ci encore lié à elle. Un regard d'effroi prit la place du désir qui accaparait ses yeux auparavant. Elle était tétanisée, et elle trembla un moment, avant de décider de repousser le cadavre de son cher et tendre. Celui-ci roula au sol. Elle se mit à pleurer, longuement, si bien que les parents de son ex petit ami déboulèrent dans la chambre, voyant la jeune fille, nue, pleurer chaque larme constituant son corps. Ils mirent un temps à comprendre, mais une fois qu'ils eurent compri ce qu'il venait de se passer, ils jetèrent la pauvre jeune fille de chez eux, avec ses vêtements, et seulement ça.

Depuis ce jour, la demoiselle s'entraina longuement, très longuement, jusqu'à ce que son baiser soit contrôlé, et, vers ses 25 ans terriens, elle parvint à embrasser sans tuer à coup sûr. Elle prenait un minimum d'énergie, qui s'apparentait à de l'épuisement. C'est à ce moment qu'elle reprit confiance en elle et en ses sentiments. Refusant auparavant tout rapport sentimental autre que pour se nourrir.

Entre temps, elle s'était installée à Kalerya, refusant de retourner dans le monde où elle avait causé tant de soucis et de malheur à certains habitants Eclyptiens.

Un jour, à Kalerya, elle rencontra une silhouette musculeuse qui attira son oeil. Le don naturel des succubes pour les approches de ce type est bien utile pour se faire remarquer. C'est comme ça que la situation amoureuse d'Anwën se renfloua d'un seul coup. Tout redevenait merveilleux. Elle ne sut qu'un an après, lorsque leur relation était avancée et saine, qu'il était un des rares phénix existant sur l'ensemble de ses quatre mondes.

C'est sans aucun doute ce qui amena ce désastre. Un jour, ou plutôt, une nuit, sans lune et où le ciel couvert de mille nuages ne laissait passer la lueur des étoiles. Ce soir là, Anwën rentrait dans la maison modeste où s'étaient installés les amants. En ouvrant la porte, ce fut des sortes de gémissements qui attirèrent son attention, et, un mauvais pressentiment gagne son être, rongeant chaque parcelle de son corps. En montant les escaliers vers la chambre à coucher, son coeur vacillait, ratait des battements ou palpitait. Alors, elle prit une longue bouffée d'air et ouvrit la porte.

Horreur. Désespoir. Rage. Colère. Dégoût. Toutes les émotions possibles commencèrent à affluer. Un corps féminin collé à celui de son fiancé, réduisait sa confiance toute nouvelle en la vie à néant. Elle se détourna sans tarder, sans apercevoir le visage de la maîtresse de son être cher. Les larmes roulèrent et tombèrent sur le sol. Elle ne savait que faire. Fuir ? Pour aller où ? Faire une scène ? Qu'importait, un homme qui goutait à la tromperie était destiné à recommencer. Alors, elle sortit simplement, dans les rues. Au plus bas, une main compatissante, -l'était elle réellement ?- se posa sur la taille de la succube, et, les dieux savent comment elle s'est retrouvée là, dans les draps d'une inconnue, à consumer sa rage et sa haine à tromper son amant infidèle.

Suite à cela, la personnalité jusque là innocente quoique impure de la succube fut corrompue par l'Orgueil. Sahel, péché capital du crépuscule, lui proposa de se venger du membre du conseil qui lui avait brisé le coeur, en le mettant à mal. Pensiez-vous qu'il aurait été si simple de souiller un coeur aimant mais fou de rage ? Evidemment que oui. Alors, le nouveau travail à plein temps de la demoiselle, au début, fut résumé au premier commandement des Zalensith, la foi. Elle devait corrompre d'autres personnes, les rallier à sa cause. C'est d'ailleurs de la sorte que sa capacité à se rendre caméléon devint grande et infaillible.

Plus tard, le crépuscule eut vent de la magie de la succube, qu'elle avait découvert jeune, mais jamais réellement utilisée. Le départ de la Luxure Antérieure, une dénommée Eurydice Fael, précipita encore les choses, il y a quelques mois. La demoiselle se retrouva propulsée au rang de péché capital, au dixième commandement, incarnant dorénavant la luxure, et au fond, elle trouvait ce rôle adapté à sa personnalité. Car oui, à quoi bon mentir, elle aimait le sexe, de tout type, alors servir ce rang était parfait.

Entre deux missions, la jeune femme s'est penché sur comment ne plus se sentir abandonnée, car malgré tout, travailler au crépuscule n'est pas le plus sûr des métiers au niveau des relations. Alors, elle traça les cercles magiques, et comme le sort le requerrait, pensa à quelque chose de plaisant. La première image qui lui vint en tête fut le premier ébat avec son ancien amant, un péché qui ne pouvait pas mieux être illustré que par un serpent, tentateur originel dans la religion chrétienne, mais mieux qu'un serpent, lui vint un Quetzalcóatl, serpent à plumes sachant voler, qui l'accompagnerait dans toutes ses mésaventures au sein du crépuscule, à vouloir rendre la monnaie de sa pièce à ces piètres êtres moins innocents qu'il pourrait y paraître. Wire, fidèle compagnon, ne se doutait pas, et son amie encore moins, pourtant, que c'est au sein même du Crépuscule que son explication véritable se trouve.

Il faudra de la détermination et plus qu'une simple chance à notre Succube pour rester en vie et assumer son rôle de Péché capital. Mais, que pensez-vous de le vivre avec elle ?




Give me love

Votre surnom
Appelez moi Alice, généralement c'est le pseudo le plus connu !

Votre âge
16 ans madame, bientôt 17 !

Qui est sur ton avatar ?
Boa Hancock - One Piece

La catégorie de ta magie
Oubliée

Nom de ta magie
Anwën Añandill > Necrosis

Accès à la zone H/Y/Y
Vous imaginez Luxure sans accès à la zone H ? Moi non plus ! (Oui promis j'arrête de me donner des excuses) C'est OUI !

Pourquoi avoir choisi Kalerya ?
C'est Nonna qui m'a montré le fofo, est je suis tombée littéralement amoureuse de tous ces codes, ce graph, puis le contexte était vraiment cool, alors je me suis dis, allons-y gaiment !

Code de validation


Pour plus de détails, voici les images illustrant diverses partie de la fiche :

Familier : Eveillé : http://mainor18.deviantart.com/art/quetzacoatl-335970699
Endormi : http://vignette4.wikia.nocookie.net/luckandlogic/images/1/1f/Quetzie2.png/revision/latest?cb=20160303094707
Arme : http://33.media.tumblr.com/92dea87d065be5d18288df61d3afba94/tumblr_ndhecyAFef1snltj3o1_500.gif


Dernière édition par Anwën Añandill le Dim 26 Fév - 18:36, édité 46 fois
Invité
Anonymous
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Invité
Dim 19 Fév - 1:02
Bienvenue deal o/

Ah nan deal c'est le nom :o

Bienvenue Anwën alors ♪

Si tu as des questions n'hésite pas :3
Invité
Anonymous
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Invité
Dim 19 Fév - 6:04
Bienvenue, j'espère que tu te plairas ici !
Invité
Anonymous
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Invité
Dim 19 Fév - 6:21
Gotov... Tu vas nous faire honte avec des jeux de mots D8

Bienvenue
Invité
Anonymous
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Invité
Dim 19 Fév - 10:49
Merci beaucouuuup (J'aime bien les blagues nulles, vous avez de la chance)

J'espère réussir ce premier essais de fiche ^-^ *va s'y atteler*



Invité
Anonymous
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Invité
Dim 19 Fév - 14:33
Bienvenue parmi nous ! Si tu as des questions n'hésite pas ~
Invité
Anonymous
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Invité
Dim 19 Fév - 16:09
Gotov t'as de la chance.

Ca fait des années que je l'entraine mentalement à résister aux blagues nulles. A les apprécier même !

Bienvenue :3 !
● Dragon de foudre - Ange ●
● Dragon de foudre - Ange ●
Alexander Bianco
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Alexander Bianco
Lun 20 Fév - 15:01
Bienvenue parmi nous o/
Bonne continuation pour ta fiche
Si tu as des questions, le staff reste à ta disposition :DD
Invité
Anonymous
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Invité
Sam 25 Fév - 21:44
Merci à tous pour ces petits mots de bienvenus,
j'annonce enfin la fin de cette fiche, il ne manque que sa relecture !

en espérant réussir ♥
Invité
Anonymous
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Invité
Dim 26 Fév - 11:36
Un staffeux (moiiiiiiiii) va s'occuper de ta fiche sous peu ^^
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