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Marius, clown maléfique
Invité
Anonymous
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Invité
Mar 7 Nov - 20:18
Marius
Chasseur de primes




Informations générales

Aurelius
Marius
74 ans
Kalerya
Masculin
69 kg
1m81
Asexuel
Démon
Aigle Bateleur




Informations psychologiques

Hobbys & Phobies
Qualités & Défauts


Hobbys:  (Marius sort de la pénombre, vérifie que ses vêtements sont bien mis, puis s’exclame) Mes hobbys? Je peux bien vous en sortir quelques-uns.

Pour moi, même vivre est un hobby.
Je ne m’ennuie ni ne me fais de soucis:
Oh, peut-être devrais-je vous prévenir
Que sont des rimes tout ce que je peux dire?
Pour commencer, j’aime voyager.
Car plus je gambade, plus de gens je peux tuer!
Mais voyons, ne vous inquiétez pas,
Avec vous, je crois que je serez sympa!
Quand je suis en chasse, je m’amuse à faire souffrir.
Mentalement ou physiquement, ça me fait toujours rire!
Je suis chasseur de primes, et j’aime le métier
Car avec cela, je ne m’amuse pas à moitié ;
Entre ceux qui frappent et ceux qui fuient,
À aucun moment je ne m’ennuie.
À part cela, un poker ne me dérange en rien,
Et les jeux de hasard sont tout aussi biens.

Phobies: (tout en riant, Marius répond) Moi, avoir peur? Bon, d’accord, je vais essayer...

Ce que je vais dire est un véritable secret!
À la moindre trahison, votre gorge sera coupée.
Tout ce que je vais confier sera vrai,
Alors aucun mot vous ne devrez louper!
Si je porte un masque, il y a bien une raison.
Oh, je ne vais pas vous conter toute l’histoire,
Car cela a commencé lorsque j’avais encore une maison…
Je vous dirai juste ce que vous devez savoir.
J’ai attrapé une horrible maladie
Qui m ‘oblige depuis longtemps à me cacher
En rendant ma peau toute flétrie
Et mes cheveux blanc cassé.
N’ayez pas l’idée de me soutirer ce masque,
Car par dessus ma bonne humeur constante
Je deviendrai comme jamais furax
Et ferai d’un spectacle une scène sanglante!
Puis il y a une part d’ironie avec mes hobbys,
Puisque je n’aime pas saigner.
Quand de mon corps sort cette couleur rubis,
J’ai tendance à me fâcher.

Qualités: (Marius prend un air faussement sérieux) Quel mot barbare avez-vous employé? Qualités? Oh, et bien, je dirais...

Mon imagination et mon sens de l'art,
Bien que tout se rapporte à la cruauté.
Je ne nie pas avoir une certaine créativité,
Et mon visage jamais n’est blafard!
Je sais jouer avec les mots,
Comme vous pouvez le voir.
Et vous pouvez le croire,
Mon bec n’est jamais clos!
Pourrais-je me vanter d'être joueur,
Que ce ne serait mentir.
Mais on a tendance à me haïr
Tant cela provoque de pleurs…
Je crois qu’il m’arrive d’être amical
Lorsque se dégrade mon humeur.
Mais cela ne fait pas partie de mes mœurs,
Car je suis tout sauf sentimental.

Défauts: (Marius ouvre un énorme livre, et dit d'un air amusé) Alors...

Marius, c'est-à-dire moi-même, n'est pas un gentilhomme.
Ô des défauts, par milliers il en a.
À vrai dire il n'en a que pour sa pomme.
Pour lui, le reste n'est que débarras!
Entre sa pure cruauté
Et sa royale désobéissance,
Il n'y a qu'immoralité
Et un soupçon d'imprudence.
Je prends bien souvent trop de risques,
Mais je m’en tire souvent sans blessure.
Et au risque que ma liberté on me confisque,
Je continuerai de m’amuser, je vous l’assure.
Ne cherchez pas une once de sympathie,
En ce corps vous ne trouverez pas votre trésor.
Quand vous rattrapera son hypocrisie,
Vous ne verrez dans ses yeux aucun or! (rire démoniaque)




Magie et arme

Magie
Arme


Nom de votre magie : Cartomancie
Avec cette magie, ne vous méprenez pas,
Aucune divination, c’est encore mieux que ça!
Vous le comprendrez, elle est fort spéciale…
Mais il n’y a qu’une chose que comprendre est crucial :
Ma magie cible uniquement les cartes de jeu.
Évidemment, ça ne semble pas très avantageux…
Mais méfiez-vous, c’est en fait bien dangereux,
Et vous verrez, c’est tout aussi douloureux !
À vrai dire, cette magie est très vaste,
Et elle est bien plus que néfaste ;
Allant de la chance à la kynésie des cartes,
Pour tout en dire, je n’aurais pas assez d’une pancarte…
Voyez-vous, les cartes de jeu sont emplies de magie,
Et, tout simplement, c’est sur celle-ci que j’agis.
Je peux par exemple les contrôler par la pensée,
Ou les maudire pour que leur morsure ne puisse être pansée.
Car oui, elles peuvent être tranchantes
Sans même que je ne les enchante,
Suffit-il de correctement les manipuler,
Et de sang tu sera tout maculé !

Je ne peux compter mes cartes comme des armes,
On croirait que je fais une blague.
Je me bats avant tout avec ma dague,
Bien qu’elles fassent couler tout autant de larmes!
Deux, pour être exact!
Que je les lance ou les enfonce,
Elles agissent telles des ronces
Et ne laissent rien intacte.
Vous voulez connaître leurs origines?
Leur histoire est très brève:
Par ma faute un homme crève,
Puis je passe non sans faire la fouine.
Ma dextérité me permet de les dissimuler
Quand je traverse une agglomération.
Bien au chaud dans mes chaussons,
Elles passent inaperçues à toute sécurité.
Toujours prêtes à me défendre,
Elles attendent que je les sortent
Et une grande aide elles m’apportent
Lorsque du sang je dois répandre.




Description mentale

(Marius cède sa place à son créateur, jugeant que celui-ci a plus de temps à perdre)
Marius ne prend pas en compte l’avis des autres, considérant que le monde n’est qu’un plateau de jeu sur lequel il s’amuse depuis sa naissance. Un jeu plein de choix et de risques, mais les risques ne le dérangent pas; bien au contraire, il saisit la moindre occasion pour  en prendre de nouveaux. Il aime torturer, que ce soit mentalement ou physiquement. Généralement, les deux en même temps. Il ne prend strictement rien au sérieux, et vit sa vie en profitant de tout ce dont il peut profiter.

Bien qu’il soit constamment heureux et excité, il devient froid et peureux lorsque son visage est révélé. Comme si en perdant son masque, il perdait sa personnalité. Il pourrais vite s’énerver s’il ne parvient pas à remettre son masque, et se comportera alors de manière… étrange, jusqu'à ce qu'il le recouvre. Le changement de personnalité est très soudain.

Marius aime faire durer le plaisir; s’il trouve un jeu amusant (attention, ce qu’il voit comme un jeu est bien souvent une scène insupportable pour tout être normal), il n’hésitera pas à démontrer qu’il a plus d’un tour dans son sac et se montrera très créatif s’il a envie de s’amuser, c’est à dire tout le temps. Il ne termine jamais sur une défaite, et peut même devenir sérieux si on lui refuse sa revanche. Il n’arrêtera pas tant qu’il n’aura pas eu une victoire ou une bonne leçon. Il aime se donner en spectacle, et supporte mal d’être ignoré.

Enfin, je pense que vous l’aurez remarqué, Marius parle presque tout le temps en rimes, qu’elles soient pauvres ou riches, suivies, croisées ou embrassées, et il lui arrive de parler à la troisième personne. Il a beaucoup d’humour, mais il est parfois difficile de savoir s’il blague ou non. Lui-même, ne le sait pas toujours.

Marius ne boit pas d’alcool ni ne se drogue; s’il en a dans les mains, c’est dans votre corps que ça finira. Faites donc attention à ses talents de manipulation. Même lorsqu’il à l’air amical et inoffensif, Marius a toujours une idée derrière la tête. Il préfère la plupart du temps être seul, mais Marius peut accomplir un travail de groupe, seulement, il se délestera en un rien de temps de quiconque le ralentira.
:60:



Description physique

(Marius est parti on ne sait où) Je sens que je vais devoir faire le reste moi-même…

Marius est légèrement plus grand que la moyenne et possède une corpulence normale. Il a une tête triangulaire fine et assez allongée, tout comme ses autres membres, qui malgré tout sont relativement musclés.

Vu en public, Marius a tout l’air d’un clown maléfique. C’est ce qu’il est, après tout… Cela commence par le chapeau, fait de deux pointes terminées par des morceaux de métal. Il est divisé en deux et chaque moitié porte une couleur: l’une rouge, l’autre noire. Ensuite il y a son fameux masque en fer, des yeux en verre-miroir, un nez très pointu, une magnifique fausse dentition traçant un sourire démoniaque et un menton encore très pointu. Venons-en à sa chemise, également séparée par les deux couleurs mais cette fois-ci échangées pour que le rouge soit en dessous du noir du chapeau, et inversement. Il porte de magnifiques épaulières en fer avec des piques avant tout décoratives (il faut dire qu’il est difficile de s’en servir comme arme) qui séparent ses bras, au bout des quels se trouvent (ses mains, sur lesquelles se trouvent) des gants, destinés surtout à cacher sa peau. Marius porte en dessous un pantalon très large accueillant des motifs formant un jeu plateau d’échecs, le tout terminé par des jambières en fer et des sabots.

En dessous de cette couche de vêtements se cache se véritable peau, qu’il ne laisse jamais paraître, blanche comme une feuille de papier et ridées par la maladie, qui au même prix rend ses cheveux blancs. Cette maladie qui rend son apparence si repoussante et le force secrètement à se déguiser en permanence, au point de lui donner un comportement un peu trop confiant.

Voici une petite vidéo pour vous donner une idée de sa voix:
https://www.youtube.com/watch?v=3ZRc-qRF738



Racontez-nous votre histoire

Il y a bien des années, dans un petit village de Kalerya, à la lueur de la lune à demi pleine, naissait un jeune humain. Le nouveau-né, entouré uniquement de ses deux parents, naquit dans une douleur aigüe. Alors que la dure nuit se finissait, le bébé sortait enfin du ventre de sa mère, après de longues heures de souffrance, sacrifiant la vie de sa génitrice pour pouvoir profiter de la sienne.

Dès ce jour, l’enfant fut haït de son père. Ce dernier ne pouvait supporter la mort de sa femme en échange d’une créature aussi faible et inutile. Il s’en occupa au plus mal qu’il le pu durant plusieurs années, devint alcoolique, même drogué, et frappait son rejeton sans plaisir, lui offrant toute sa haine, ce qui servit à l’enfant de seule éducation. Alors, il grandit dans la violence et la haine, et ne connut aucun autre sentiment. Par dessus tout, le garçon avait une maladie des plus vicieuses ; absolument inoffensive, tout ce qu’elle faisait était de pourrir le garçon, rendant sa peau flétrie, ses cheveux gris et ses yeux bleus pâle, complétant le labeur du père.

Le père, mourra d’une overdose, alors que l’enfant n’était âgé que de 6 ans. Ce dernier ne pouvant rester dans la maison ni se nourrir, quitta cette baraque dans laquelle il avait passé toute sa vie, effrayé, mais excité de découvrir ce qui se cachait loin, derrière ces murs de pierre. D’abord, il courra. Il courra, sans s’arrêter, pendant longtemps, volant un fruit lorsqu’il passait devant un marché, un habit lorsqu’il passait devant un magasin, un peu d’eau lorsqu’il passait devant un robinet… Il ne s’arrêta que lorsque la fatigue empêchait son corps de bouger. Affamé, assoiffé et froid comme la glace, il failli bien mourir durant la nuit qui suivi. Mais, étonnement, il se réveilla. Une épaisse couverture de laine avait été déposée par on ne sait qui, durant son sommeil. Mais l’enfant ne pouvait accepter le simple concept de charité ; il ne voulu même jamais comprendre comment ce drap avait atterrit là. Il vécu alors sous les ponts durant plusieurs mois, se servant de sa surprenante dextérité pour voler ce dont il avait besoin pour vivre. De temps en temps, quelqu’un lui lâchait des pièces, mais il ne comprenait pas pourquoi. Il ne connaissait pas même la notion de politesse. La seule chose qu’il avait retenu des six premières années de sa vie était son nom : Marius Aurelius. Pourquoi s’appelait-t-il ainsi ? Pourquoi, même, lui avait-on donné un nom ? Nul ne le savait.

Certains jours, des gens lui proposaient de le loger chez eux. Mais Marius n’acceptait jamais. Il ne voyait que la haine dans les yeux des gens. C’était également la seule chose qu’il renvoyait. Il lui était même arrivé, une fois, de tuer un sans-abri dans son sommeil. Le pauvre homme, qui dormait paisiblement à un coin de rue, semblait posséder plus que Marius. On allait même pas remarquer sa disparition. Cet homme n’était, aux yeux de Marius, qu’un cadeau offert par la vie, telle la couverture qui l’avait sauvé auparavant. Pourquoi devrait-il se priver ? Qu’est-ce qui l’en empêchait ? Et de toute façon, pourquoi se poser des questions ? Alors que Marius avançait, à pas légers, rendu invisible par l’obscurité dans laquelle il voyait étrangement clair, longeant un vieux mur de pierrasse, il décrocha un bloc de pierre du mur croulant, libérant quelques poussières au passage, et la leva de ses deux bras jusqu’au dessus de sa tête. Il regarda la tête du pauvre homme, innocent, puis sans un bruit, laissa la pierre chuter. Il ne cligna pas les yeux, contemplant son œuvre dans le moindre de ses détails. Alors, quelque chose de nouveau naquit chez l’enfant : un sourire. Il avait pris du plaisir à lâcher la pierre, à entendre le bruit d’un crâne se fracasser, à voir le sang couler tranquillement… Et, regardez, maintenant, il avait un butin… Pourquoi n’avait-il pas fait cela plus tôt ? Il y a tant de mendiants, le long des rues sombres de la ville… Tellement de ressources à prendre, tellement de sang à répandre, tellement de vies à prendre, tellement de haine à absorber… Depuis lors, il tuait, tous les jours, parfois même plusieurs fois, tandis que son plaisir grandissait.

Un soir, alors qu’il jouait à assassiner, comme par routine, il décida de commencer à tuer avec plus d’audace. C’en était tout de la facilité offerte par son poids et la pénombre des rues de nuit. Il choisit alors une grande rue, à côté d’une rivière, bien éclairée par la lueur de la lune. Il attira un bourgeois qui aurais préféré être rentré chez lui à cette heure, le fit courir, le tortura mentalement pendant plusieurs minutes, ria à plein souffle, puis décida d’en arriver à la partie la plus plaisante. Il sortit un couteau, se déplaçant tel un oiseau autour de sa proie, lui déchirant la peau par-ci et par-là. l’homme tomba au sol, à bout de souffle, étourdis, et contempla son cauchemar. Alors Marius s’arrêta, et se tint haut et fier devant sa victime. Il riait de plus belle de sa voix rauque. Il voulu avancer, mais quelque chose l’en empêcha. Là, entre sa proie et lui, se dressait une ombre aux traits précis. Partant de ses pieds, se dessinant le long de ses fines jambes pour en arriver à son ventre vide, puis, à la base de ses bras, de grands voiles qui s’étendaient sur plus d’un mètre, de chaque côté. Il se retourna d’un geste vif, mais ne vit rien dans son dos, à part… Quelques plumes noires, qui retombaient silencieusement au sol. Il leva la tête et courba douloureusement des muscles jusque-là inconnus dans son dos. Deux grandes ailes noires se courbaient devant ses yeux, son visage était pétrifié. Il les sentait bouger, à la base de son dos, jusqu’au bout des plumes. Il resta longtemps ainsi, bouche bée. Alors qu’à nouveau, un sourire se dressait sur son visage, encore plus vicieux qu’à son premier meurtre, il reporta son regard là où gisait précédemment sa victime. Sans qu’il le remarque, elle avait décampé. Mais il ne voulait pas même le retrouver, ou chasser un autre homme. Il fit aller ses deux nouveaux membres. Sans difficulté, ses pieds se soulevèrent du sol, toutefois en allant légèrement de travers. Il s’envola, doucement, contemplant successivement la surface de la rivière qui s’éloignait, puis les toits des maisons alentours, puis celui des hauts bâtiments plus éloignés de la ville. Marius se remit à rire à n’en plus pouvoir respirer.
« Quel jeu amusant... »

À ses douze ans, Marius fut recruté au sein d’une troupe de cirque, sans vraiment comprendre comment, conduite par un homme mystérieux et étrangement habillé. L’homme lui avait proposé de l’éduquer et de lui apprendre diverses choses, s’il acceptait de rejoindre sa troupe. D’abord, Marius avait accepté avec pour seule pensée de profiter du premier moment de solitude pour s’amuser un peu avec une nouvelle proie, mais alors qu’il marchait, il réfléchit à ce que l’homme venait de lui proposer. Après tout, cela peut être utile, un peu d’éducation. Et ça ne coûte rien d’aller voir. Marius fut donc emmené jusqu’au cirque, non loin de la ville, entouré de carrioles et de cages. D’imposants animaux y étaient enfermés. D’autres humains jouaient un peu partout, et s’amusaient avec des instruments inconnus à Marius. Tout cela piquait sa curiosité. Il s’arrêta pour observer un homme qui jonglait avec plusieurs balles, puis près d’un autre qui faisait disparaître des foulards. Il ne refuserait pas d’apprendre à faire ce genre de choses.

Les prochaines semaines se déroulèrent tout à fait normalement, sans même un meurtre. Marius se retrouvait déjà plus éduqué et mieux habillé, et développait des contacts sociaux avec sa troupe. Il ne s’était tout de même pas pris d’affection pour ces êtres, mais il voyait en eux un intérêt, des choses à apprendre. Sa dextérité lui permit d’apprendre très rapidement. Il su bien vite jongler, faire disparaître des objets, parler en rimes, faire des pirouettes sur des objets instables, et même, faire d’étonnantes choses avec des cartes de jeu. Cela, personne ne lui avait appris ; il l’avait découvert un jour, alors qu’il tentait des tours avec un paquet de cartes. Les membres de la troupe disaient qu’il avait un pouvoir, puisqu’il était le seul à y arriver.

Une nuit à ses 16 ans, alors qu’il essayait de découvrir des tours qu’il pouvait faire à l’aide de cette « magie », un  homme de la troupe entra dans sa tente. L’homme fut bien surpris de découvrir les yeux brillants de Marius, dans la pénombre. Il pris une face dégoûtée, et cria haut et fort : « Démon !! » Alors que l’homme cherchait à s’enfuir, Marius retrouva subitement ce plaisir de la chasse qu’il avait oublié. C’est donc ça ? Il est un démon ? En dehors de la tente, il déploya ses ailes, puis regarda arriver les autres membres, confus, de sa troupe. Il réfléchit rapidement, voyant que ces derniers cogitaient, puis décida qu’ils n’avaient plus rien à lui apprendre. Il commença par fondre sur le lanceur de couteaux, qu’il jugea le plus dangereux. Il saisit rapidement les deux dagues que l’artiste possédait, qu’il trouva d’ailleurs fort belles, puis s’occupa un à un de chaque homme et chaque femme présente dans le cirque. Voulant terminer cet épisode - pour le moins intéressant - de sa vie, il mena l’homme qui l’avait recruté au centre de la scène puis, l’espace d’une seconde, alla plonger les lames dans le ventre de l’homme. Il se rappela de l’une des premières leçons que celui-ci lui avait apprise, et n’hésita pas à ressortir avec un grand sourire : « Merci ! »

Plusieurs années passèrent, et Marius appris beaucoup de choses. Que ce soit sur la magie, ou simplement la culture générale, il aimait apprendre. Il se disait que cela ne pouvait que lui donner plus d’avantages. Il appris notamment l’existence des familiers. Il ne lui fallu pas longtemps pour avoir le sien ; le temps qu’il réunisse assez d’information, il était déjà prêt à invoquer le sien, excité et désireux de savoir quel animal la nature le offrirait comme compagnon. Il se voyait bien accompagné d’un oiseau, comme un corbeau, ou encore un vautour… Ou peut-être un hibou ? Il mit en place le rituel, et le respecta jusqu’à la fin, en ayant toutefois un peu de mal à se rattacher à un souvenir cher. Le cirque ferait bien l’affaire. Qu’allait-il se passer ? Et bien, un oiseau, plutôt grand, apparût. D’abord Marius eût l’espoir que ce soit l’un de ceux dont il rêvait. Mais L’oiseau se révéla bien différent de ce qu’il espérait. Un bon 70 centimètres de hauteur, pas loin de deux mètres d’envergure, des plumes noires sur le corps et le bas des ailes, tendis que le dessus extérieur de ces dernières était gris et l’intérieur blanc. Les épaules, le dos et la courte queue étaient roux. Le visage rouge, entourant un grand bec recourbé sur la pointe. Un beau rapace, tout de même. Ce n’est pas si loin de ce que Marius voulait. Sans comprendre pourquoi, Marius ressentait déjà de l’affection pour l’animal. C’était bien étrange ; il ne se souvenait pas avoir ressentit cela à un moment de sa vie, et si ça lui est arrivé, il l’a oublié. Mais pour cet être, il n’avais pas la moindre pensée cruelle. C’est comme s’il s’était fait son premier ami. Il tenta aussitôt de communiquer mentalement avec l’oiseau. Il y arriva presque naturellement. Il pouvait ressentir les émotions du piaf. Comme si la bête était intelligente. Quelques minutes passèrent, et Marius admirait déjà les capacités de son familier : celui-ci pouvait faire d’admirables pirouettes aériennes et semblait même pouvoir danser au sol. Aucun doute, les parades nuptiales d’un tel animal doivent être fort belles. Le plus surprenant était ce moment où l’oiseau se mit à parler, à voix haute, prononçant avec difficulté quelques mots. Et là, Marius avait bien l’intention de lui apprendre à parler en rimes. Mais c’est loin d’être le seul projet naissant dans sa tête. Imaginez le chaos qu’il peut causer à lui seul… dédoublé ? Finalement, voyager seul n’est pas toujours la meilleure chose à faire.

Après cela, Marius vécu une vie très excitante, bien que morbide aux yeux de la plupart, durant de nombreuses années, tandis que son corps semblait ne vieillir que difficilement. Seule la maladie continuait à le pourrir, au point qu’il fut contraint de porter un masque de fer. Il s’habillait toujours en clown, et avait gardé les deux dagues prélevées sur le lanceur de couteaux. Il se trimballait également avec un jeu de cartes, puisqu’il avait trouvé des manières créatives de les utiliser à mauvais escient. Il avait même trouvé un métier : chasseur de primes. Ce métier lui permettait en fait de continuer à tuer, mais en plus, il recevait des primes intéressantes à chaque meurtre. Que le monde est bien fait ! C’était probablement le meilleur terrain de jeu qu’on eût pu lui construire. Il s’amusait à semer le chaos partout où il passait, se moquant de la loi. Il n’aimait pas les règles ; il préférait les contourner.
Quant à son familier, Marius fit beaucoup évoluer la relation qu’ils avaient. Ils arrivaient à « jouer » en symbiose, à communiquer oralement sans difficulté, et même à faire des parties de poker, jeu qui avait prit Marius peu de temps auparavant. L’oiseau s’était révélé être un aigle bateleur, connu pour son comportement clownesque. Il avait aussi reçu un nom et un surnom : Pennywise, l’aigle dansant.

Marius est devenu très dépendant de son masque. Tandis que la maladie continuait, inexorablement, de l’amocher, Marius a développé un complexe. Finalement, c’est l’entièreté de la surface de son corps qu’il s’est mit à cacher. Il arrive, de rares fois, qu’on le voie sans son masque, mais il ne supporte pas cela et aura une terrible envie de vengeance envers quiconque le lui retirera. Il a même voulu, une fois, déchiqueter son propre familier, alors que celui-ci ne voulait faire qu’une blague routinière. Le plus étrange est le très brusque changement de personnalité lorsque son masque est enlevé ou remis. Mais tant que cela n’arrive pas, Marius gardera sa bonne humeur sadique de clown maléfique !



Informations Supplémentaires

Votre surnom
Glaçon

Votre âge
16 ans

Qui est sur ton avatar ?
Shaco de League of Legends

La catégorie de ta magie
Je pense pouvoir la mettre dans « autres »

Nom de ta magie
Marius > Cartomancie

Accès à la zone H/Y/Y
Oui

Pourquoi avoir choisi Kalerya ?
Je cherchais un forum fantastique avec deux caractéristiques: pouvoir choisir une magie originale, et pouvoir combattre à mort!

Code de validation



Dernière édition par Marius le Jeu 9 Nov - 19:18, édité 2 fois
Invité
Anonymous
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Invité
Jeu 9 Nov - 7:53
ELLO. JE SUIS LE KUMESSAGE ! LE KUMO QUI ENVOI DES MESSAGES èné

J'espère que tu vas bien cher ami et que tu es honoré ! TU ES MON PREMIER COMPTE A VALIDER ! Alors peut-être que je serai... Tout gentil ◉‿◉ ou... que je te ferai roter du sang parce que je suis michant ʘ‿ʘ......... //SHOT

ANYWAY ! Bienvenue à toi sur Kalerya ! Le forum de toutes les possibilités ! 'fin j'imagine. 'fin doit y avoir quelques règles, tu vois, tu as lu, t'es tout gentil ect. ET DU COUP J'AI LU TA FICHE ! Elle est ultra cool, réellement c'était vraiment plaisant à lire même si tu as pris en avatar... CET ENFOUFDHKGDHGFD DE SHACOd dfgfdgjfd MAIS ! Je te pardonne !

En revanche, malheureusement, j'ai une petite chose a te demander sur ta fiche, c'est pour ta magie. Même si c'était amusant à lire avec cette écriture poétique, j'aimerais bien pouvoir dire que ton pouvoir sera tout aussi comique ! c: De plus, j'imagine bien que tu veux garder un peu de mystère, mais après cette fiche tu devras monter une fiche technique et donc on doit savoir dès maintenant ce que tu as en tête pour le pouvoir de ton personnage ! Bref, j'espère que ça va aller ! Si tu as des questions n'hésite pas a venir me trouver sur discord ou même en MP !

Pleins de pizzas pour ta face, Kumo
Invité
Anonymous
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Invité
Jeu 9 Nov - 18:19
Voilà voilà, je viens d'éditer! J'ai donc changé tout le paragraphe de la magie en tentant d'être plus clair... (J'en ai discuté avec Kumo sur discord)
Je suis prêt à voir la note :75:
Invité
Anonymous
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Invité
Sam 11 Nov - 10:33
Orthographe2/2
Vocabulaire 1.5/2
Conjugaison2/2

Langue française2/2
Originalité2/2
Qualité3.5/4

Note perso2/2
Longueur du texte4/4
Niveau19/20


Validation avec...
Niveau Total21
P. Techniques23
P. caractéristiques115


Félicitation
VOILA. Gros gg pour ta présentation ! C'était ultra intéressant à lire ! Bon courage pour la suite ! Voilà tes 10 000 sousous pour t'acheter des sucettes ou des trucs pour tuer des gens.

Tu seras quand même encadré pour ton pouvoir qui peut être assez surprenant, mais comme je te l'avais expliqué sur Discord, tu verras ça dans ta FT avec la personne qui s'en occupera ! Amuses-toi bien !


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