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Simple mais complexe, la nature humaine
Invité
Anonymous
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Invité
Jeu 1 Déc - 14:18
Erakela
Chasseuse de prime & No one




Informations générales

Eftar
Erakela
30 ans
Ultarime
Femme mais des fois on se demande bien
60 kg
1m58
Pan sexuelle !
Humain
//





Informations psychologiques

Hobbys & phobies
Qualités & Défauts


J'aime rester seule à écrire mes pensées. J'aime rester seule à me parler, à penser. Mais j'aime également côtoyer du monde, voir du pays et apprendre. Mais ce que j'aime par dessus tout, c'est rêver. Passer des heures à contempler le lointain tout en laissant mes pensées affluer sans réflexion.

A contrario, je hais les êtres magiques, je hais les créatures étranges qui peuplent ces mondes. Je les hais, j'en ai peur, horriblement peur. Ils sont étranges, inquiétants, effrayants. ils respirent cette mort qui me fuit, mais de leur main, je refuse de la prendre, cette mort que j'ai cherché à atteindre jadis.
Comment pourrait-on me décrire ? Trop modeste peut-être ? A vrai dire, je n'aime pas énumérer mes qualités et mes défauts, surtout mes qualités en fait car je n'en ai pas. Mise à part peut-être la générosité et la compassion ? Et encore, tout dépend de mon humeur du jour.... Mais je suis une personne plutôt égoïste, assez égocentrique comme aiment le dire les gens autour de moi. Il parait même que ma plus grande qualité c'est de n'avoir que des défauts. Prends également en compte ton sens développé de l'humour. Tu le sais bien que ce n'est pas ici qu'il faut en parler...





Magie et arme

Magie
Arme


Comment décrire une magie qui n'existe pas ? Les Dieux auraient-ils oublié cette enfant à la naissance ? Aurait-elle fait le choix de ne pas posséder de magie ? Qui peut le savoir réellement ?
La magie, à tes yeux est, de toute façon, un poison pour les âmes. Elle corrompt tout Homme, toute créature. Elle ronge les os et les esprits, ne laissant dans son sillage que des coquilles vides.
Je suis dotée d'un fusil somme toute très simple. Il n'est pas spécialement adapté à ma carrure ni même de très bonne facture. Mais il reste une arme entretenue avec amour qui possède le pouvoir de tuer une fois entre mes mains. Il est cependant très long à recharger et n'est pas très utile en cas de grosse mêlée ou de combat rapproché. C'est pourquoi j'ai tendance à me tenir toujours à bonne distance des combats.





Description mentale

Tu es du genre plutôt calme. Sauf quand il m'arrive de péter un câble. Mais cela arrive à tout le monde, bien sûr. Certes, mais mes crises de colère peuvent effrayer les plus sûrs. Petite mais teigneuse, n'est-ce pas ? Cela va de soi.
Il y a également cette haine que tu portes envers les êtres magiques, envers tout le monde quoi. Oui, je hais ces êtres qui arborent avec orgueil et fierté cette magie usurpatrice, mensongère. Je hais ces créatures étranges, ces créatures effrayantes et dangereuses. Bien que je tente de rester impassible en leur présence, je brûle, en réalité, de les crever les uns après les autres. Ils m'effraient et m'écœurent.

Mais parles nous du reste, parles nous de ce qui est sombre en toi, de cette part que tu cherches à cacher depuis de nombreuses années maintenant. Je ne veux pas parler de ce qui me laissa des traces sur les bras. Je préfère oublier tout cela. Pourtant cela fait partie de ta vie, et tu le sais. Et ça intéressera qui de savoir que j'ai des tendances dépressives ?! Dis le moi ? Tout le monde se fout du fait que tu ailles ou n'ailles pas bien. L'importance c'est les résultats et rien d'autre !


Passons le sujet sensible, alors ! Puisque cela semble t'énerver. En effet, tu ne fais pas si bien dire. Tu es également une bonne vivante parait-il ? Quand j'ai bien bu, oui, il m'arrive de quitter ce mur de recul et d'impassibilité. J'aime m'amuser mais lorsqu'il est temps de travailler, je sais redevenir sérieuse. A vrai dire, je n'aime pas me décrire mentalement, car je ne sais jamais comment je pourrais vraiment réagir face à telle ou telle situation. Tu es bien complexe... Ma nature Humaine me l'impose, à vrai dire.

Ou alors tu te l'imposes toute seule, toi qui cherches à être le plus complexe possible aux yeux des autres pour qu'ils ne viennent pas t'embêter. Car tu désires rester seule, cloitrée dans ce monde que tu juges noir... Alors que l'humour est ta plus grande amie, alors que vivre dans tes rêves est ton billet de libération. Tu ne comprends même plus ce que tu penses, ce que tu me dis, ce que tu te dis. Car après tout, tu ne fais que te parler à toi même et ce de façon récurrente sans pour autant que ce soit maladif. Tu es perdue, tout simplement.

Laisses moi pleurer, laisses moi être celle que je désire. Une personne banale, dépressive, qui ne l'assume même plus et qui cherche à se le cacher à elle même. Laisse moi être vénale, sans scrupule pour cacher ce trou béant de douleur lorsque je vois une personne sans moyen. Laisse moi être indifférente face aux autres. Laisse moi être moi même, incomprise par le reste de l'univers. Je ne me pense être que noirceur, je pense ne pas mériter de vivre. Et tant pis si c'est le cas de milliers d'autres personnes, et tant pis si je ne suis pas le centre du monde. Laissez moi comme je suis, complexe.




Description physique

Tu es plutôt petite, même pour une humaine. Du haut de ton mètre cinquante-huit, tu arbores une musculature fine et des bourrelets de graisse bien placés. Au niveau de tes hanche, évidement mais également du ventre, ce qui t'énerves un peu, surtout que tu fais bien attention à manger équilibrer. C'est surtout que je n'ai pas un rond en poche et que je crève la dalle, oui !

Tu possèdes également des cicatrices un peu partout sur ton corps, reflets de ton métier peu orthodoxe et de... ton passé. Celles sur ton bras, notamment, les plus profondes et les plus visibles, que tu dissimules sous de longues manches. Ou alors que je laisse à l'air libre, me foutant royalement de ce que pensent les gens.

Je suis châtain, ou rousse, à vrai dire je ne sais pas vraiment. Mes cheveux font un peu ce qu'ils veulent en fonction de la lumière, plus brillants sous le soleil et plus ternes la nuit. Ils sont courts, désordonnés et capricieux, comme si une entité mythique en avait pris la possession. Plutôt roux, tout compte fait, tu ne crois pas ? J'en sais rien et je m'en fiche !
D'ailleurs, tes yeux sont tout aussi particuliers que tes cheveux. D'un brun chaud, ils respirent la vie et brillent d'une flamme de combativité malgré le fait que tu ne sois pas... en paix avec toi même. Tu racontes n'importe quoi. Mes yeux sont juste brun, un brun certes clair mais qui ne brille aucunement d'une quelconque flamme. Cette flamme est même éteinte, vois-tu ?

Continuons cette liste avec tes vêtements si... particuliers. Tu t'habilles d'une tenue bleue de chasseur semble-t-il. Des poches à cartouches sont cousues de chaque côté et rarement remplies entièrement. Sur le devant de ta tenue, qui descend jusqu'à mi-cuisse pour le haut, on peu voir un étrange symbole blanc et rouge peint. Il ressemble, à s'y m'éprendre, à une tortue. Mais même toi tu ne sais pas ce qu'il représente. Non et je n'ai pas cherché à le savoir, cette tenue je l'ai volée.
Une ceinture de cuir vient tenir le haut de ta tenue, elle est plutôt simple et bien abîmée par le temps. Vient ensuite le pantalon, blanc à l'origine, fait d'une matière solide mais confortable. Du lin je crois, mais je n'en suis pas sûre. Sur ce pantalon montent deux guêtres bleues renforcées par une fine plaque de métal coincée à l'intérieur. D'ailleurs, les points sensibles de ta tenue comme les avants-bras, les épaules et le torse sont renforcés par de fines plaques de métal souple, coincés dans des doublures. A ces guêtres s'ajoutent une paire de bottes en cuir tout aussi abîmés que la ceinture, si ce n'est plus.

Tu portes également un casque bleu muni d'une visière cachés sous une plaque de métal finement ciselé de trois flèches. Ce casque possède également deux caches oreilles qui servent aussi à attacher ton casque. Puis tu portes des gants faits de cuir.
Somme toute, tu possèdes une tenue parfaitement adapté à ton métier, du moins... tant que tu ne rencontres pas des créatures dotées de magie, ce qui est plutôt rare en cet univers.




Histoire d'une personne banale



Je n'étais personne. Je ne suis personne et je ne veux être personne...

Je suis née, comme tout le monde, d'une mère et d'un père aimants. Ils étaient humains, les humains les plus attentionnés et gentils qui soient... Je plaisante. Ils étaient juste normaux. Ils étaient monsieur et madame tout le monde, vivant en parfait serfs sur des terres qu'ils ne possédaient même pas. Je suis née sur une planète où la civilisation n'était pas plus évoluée que celle du moyen-âge terrestre. La misère et les guerres faisaient rage entre les différents territoires. Des guerres d'orgueil, de désire de conquête. Et nous étions les victimes, toujours, de ces grands monarques qui ne pensaient qu'à eux.

Je n'aime pas les grands monarques. A vrai dire, je n'aime pas les grands de ce monde. Le conseil, le gouvernement, toutes ces institutions sont des choses hypocrites. Mais personne ne veut rien savoir...

Mais revenons en à ton enfance. Une enfance qui se déroula de façon tout à fait banale, ennuyeuse même. Tu as grandis entourée de tes frères et soeurs plus âgés. Tu n'étais pas la cadette puisqu'une petite soeur vint te voler la place, mais tu n'étais pas non plus l'aînée de cette fratrie de quatre enfants. Les jours suivaient une routine ordinaire. Se lever, déjeuner, travailler, se coucher. Parfois, un petit événement venait briser cette monotonie. Parfois il s'agissait d'une dispute ou alors c'était la relève des impôts. Tu n'aimais pas voir ces précepteurs arriver avec leur carriole. Cela signifiait se priver pour subsister à l'hiver.
C'était dur, très dur que de manger peu pour ne pas mourir de faim le lendemain. Vous étiez tous maigres, sales mais heureux. Oui, vous étiez heureux d'être encore en vie malgré les conditions imposées. Heureux de pouvoir rire de temps à autre, de pouvoir se disputer, d'être humains. Contraints seulement par votre condition de faibles aux yeux des autres races. Mais de toutes, vous étiez les plus rêveurs et les plus chanceux.


Ou pas... Ton frère aîné développa des pouvoirs magiques comme tous tes autres frères et soeurs, sauf toi. Tu pensais que cela viendrait avec le temps mais rien, absolument rien. Ils quittèrent tous la maison pour aller servir le Conseil, vous laissant, avec tes parents et ta cadette. Tu venais d'atteindre l'adolescence, cette période de changements qu'on ne comprenait pas, qui faisait peur.
Tu commenças à accumuler, beaucoup, à tel point que tu sombrais de façon inexorable, tirée par ce grand chien noir.


Tes parents ne savaient rien, tu ne leur disais rien. Ton père continuait à te mettre sur le dos une pression énorme. Il souhaitait, plus que tout, que tu puisses, comme tes aînés, partir servir le Conseil. Il voulait que tu aies une vie meilleure. Mais il ne se rendait pas compte de ta souffrance, de cette perte de confiance qui grandissait de jour en jour alors que tu te rendais compte de ton incapacité à maîtriser la magie.
Les disputes, toujours plus violentes, commençaient à s'accumuler avec ton père. Tu le vivais de plus en plus mal à tel point que tu pensais au pire. Tu avais seize ans lorsque tu décidas, sous les coups de la douleur, à passer à l'acte.


Je ne me souviens plus très bien mais je crois que je pleurais beaucoup, serrant mon poing sur mon sternum, le griffant comme si je voulais en extraire la souffrance. Je venais de m'engueuler avec mon père et... c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Il était tard, plus de minuit quand je saisis cette lame, scintillante sous la flamme vacillante des bougies. J'étais seule dans ma chambre, prostrée sur un lit froid et inconfortable. J'ai regardé mon bras, longtemps avant de finalement poser la lame sur la peau tendre. J'ai tiré, d'un coup et un fin filet de sang s'est échappé de la plaie, superficielle.
Et avec ce sang qui s'en allait, mes souffrance s'envolaient en même temps qu'une douleur, bien réelle cette fois, envahissait mon avant-bras. J'ai recommencé, pleurant de soulagement face à cette douleur physique qui masquait celle mentale.

Ce jour là, j'ai commencé à me mentir. J'allais bien, parfaitement bien malgré les larmes qui coulaient avec abondance. Je riais, souriais à outrance, plus qu'il ne le fallait. Je me suis leurrée pendant des années durant, me mentant, me persuadant de mon bien-être. Parfois des pensées plus sombres encore me traversaient l'esprit. J'ai tenté de rejoindre la mort, deux fois, mais elle me refusait mes avances, à chaque fois.
Plus je grandissais et plus l'ambiance se détériorait. C'en devenait un fardeau que de devoir se lever le matin... Lorsque je n'avais rien à faire, l'ennui m'envahissait et alors je dormais pour oublier mes tourments.

Ce chien continuait à grossir sur ma poitrine, m'emmenant toujours plus loin dans les ténèbres. Je me suis mise à haïr les êtres magiques, eux qui avaient la chance de pouvoir la manier. Eux qui avaient un avenir radieux, eux qui dirigeaient le monde avec orgueil. Je me suis mise à haïr les créatures étranges, les créatures autres que les humains, après m'être battue avec un habitant de la nuit. Ses mots acérés avaient transpercé  mon coeur meurtri et je m'étais effondrée alors qu'il prenait un malin plaisir à se nourrir de mon sang. Je les hais, tous autant qu'ils soient. Femmes, vieillards et enfants, ils ne sont que des monstres !

Je me suis mise à me haïr, incapable d'être quelqu'un, incapable de répondre aux attentes de mon père. J'étais plongée dans un cercle vicieux. Un cercle plus difficile à fendre que celui de la drogue. Oui, j'allais bien, parfaitement bien mais j'étais droguée. Droguée à cette douleur physique.

Ô, j'ai versé tant de larmes durant ces années où j'allais parfaitement bien. Je ne veux pas m'apitoyer sur mon sort. Il y a toujours pire, bien pire ailleurs. Je vais parfaitement bien... Alors que les cicatrices ne cessent de s'accumuler du haut de tes vingt-cinq ans...
Tu étais encore chez tes parents à cet âge là. Mais c'en était assez. Tu en avais assez d'attendre une magie qui ne viendrait pas, tu en avais assez de te battre avec ce père que tu aimais tant. Alors tu es parti, seule, avec pour seuls bagages ton carnet et de quoi manger.

Tu as traversé des forêts, tu as appris à voler, à dépouiller les honnêtes endormis pour survivre. Manger ou être mangé, voilà la nouvelle devise qui dirigeait ta vie à présent. Tu souhaitais également oublier ton passé, ce passé où tu allais si bien. Tu avais finis par comprendre, au contact d'un voyageur, que non, tu n'allais pas bien. Qu'il fallait accepter ta souffrance pour la combattre. Alors tu as cessé de mutiler ton corps et tu as décidé de recommencer à vivre.

Tu as décidé de voler cette arme sommaire à un voyageur qui n'était pas de ton monde. Tu as décidé d'apprendre à tirer avec cette arme, d'apprendre à tuer des animaux. Tu t'es décidée à te salir les mains dans de sombres besognes pour subsister en ville. Tu es devenue une fille de joie, dépouillant tes clients une fois endormis. Tu as bafoué ta vertu, ton égo et ta fierté. Tu n'étais plus cette jeune fille dépourvue de magie. Tu étais devenue une jeune femme possédant la plus puissante de toutes les magies: la volonté. La volonté de vivre, la volonté de montrer au monde que la magie n'était rien d'autre qu'un mensonge. La volonté de tuer ce chien qui subsistait sur ta poitrine et t'étouffait malgré le fait que tu aies cessé de te mutiler.


Tu renaissais, lentement mais sûrement. Tu étais anonyme, tu n'étais personne et tu ne voulais être personne. Le monde des grands n'était pas fait pour toi. Tu ne voulais pas de reconnaissance, tu voulais juste vivre, pour une fois, juste vivre.
Au fil des années, tu appris à utiliser tes atouts pour charmer les hommes, tu appris à assassiner, à trahir. De jeune femme innocente aux mains blanches, tu étais devenue une mercenaire au recul immense. Tu étais dans une bulle, une bulle qui se voulait bouclier. Tu travaillais pour oublier, tu buvais pour oublier, tu couchais pour oublier. Mais tu n'oubliais pas, cette douleur au creux de ta poitrine, ce manque de confiance qui ne s'en était pas totalement allé...


Alors tu continuais à voler, à tuer, à vendre les innocents pour de l'argent. Puis vint un jour où tu dépouillas un chasseur de ses vêtements. Des vêtements fort étranges mais de bonne facture. Tu tombas amoureuse de ces bouts de tissus bleus qui t'allaient presque à merveille. Tu avais toujours aimé le bleu. Tu trouvais qu'il s'agissait d'une couleur calme qui reflétait parfaitement ton attitude face au monde. Le calme t'habitait alors que la rage bouillait en toi, une rage de vivre, de combattre cette douleur et d'exterminer la magie de ce monde. Cette magie qui 'était à l'origine de tous tes maux. Cette magie qui était ta force de vaincre. Cette magie, que tu jalousais au fond de toi.
Et plus les années passaient, plus tu haïssais cette magie et ceux qui la possédaient. Tu prenais un malin plaisir à chasser les heureux possesseurs de ce vil mensonge. Tu prenais plaisir à les livrer contre de l'argent. Tu prenais plaisir à être une chasseuse de prime.


Mais qu'avais donc-tu fait de ta vie ? Toi qui n'avais que trente ans ? Toi qui n'avais plus de vertu, toi qui te fichais éperdument des choses, toi qui prenais ton corps pour un champ de bataille et un défouloir ? Mais qu'as-tu fait, pauvre folle ? Pourquoi tant de haine ? Pourquoi si peu de respect ? Tu n'aspirais qu'à vivre et voilà où tu en es, à te prostituer pour quelques pièces, à dérober dans le dos, à tuer des innocents. Qui sers-tu vraiment ? Si ce n'est toit même ? Que veux-tu réellement ? Si ce n'est arrêter de souffrir ? Monstre parmi les monstres ou juste une pauvre enfant désespérée ? Qui es-tu vraiment ? Qu'as-tu fait de cette foutue vie que t'on offerte tes parents ?!

Je ne suis personne, je ne veux être personne. Cette vie je la déteste bien que je m'y accroche. Je ne souhaite qu'une chose, c'est de mourir, mais cette chienne de mort ne veut pas de mon corps mutilé. Je ne suis pas malheureuse, je vais bien, parfaitement bien ! Foutez moi la paix !




Informations Supplémentaires

Votre surnom
Capouccino ou même Ephy :D (ou Ikea, apparemment XD )

Votre âge
On ne demande pas son âge à une femme de 18 ans !

Qui est sur ton avatar ?
Nausicaä de la vallée du vent - Ghibli - Hayao Miyazaki

La catégorie de ta magie
Sans magie

Nom de ta magie
Erakela > Sans magie

Accès à la zone H/Y/Y
Oui :D

Code de validation
Un Kalerien voyage au pays du chocolat




Dernière édition par Erakela le Dim 4 Déc - 19:19, édité 13 fois
Invité
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Invité
Jeu 1 Déc - 15:07
Ephy comme ... Ephylix ? Le tigre de Jade ? :o
❖ Dragon de l'eau & Vampire de sang pur ❖
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Ryuu T. Drazleyth
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05/02/1994
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12/09/2016

Informations
Caractéristiques:
Magies & Armes:
Relations:
https://kalerya-entre-monde.forumactif.org/t76-ryuu-tachibana-drazleyth https://kalerya-entre-monde.forumactif.org/t146-ryuu-tachibana-drazleyth https://kalerya-entre-monde.forumactif.org/t365-ryuu-t-drazleyth http://www.kalerya-entre-monde.com/t150-ryuu-tachibana-drazleyth http://www.kalerya-entre-monde.com/t151-ryuu-tachibana-drazleyth http://www.kalerya-entre-monde.com/t152-ryuu-tachibana-drazleyth

Ryuu T. Drazleyth
Jeu 1 Déc - 17:32
Bonsoir et bienvenue sur Kalerya ! :love:
Attention aux petites fautes dans la description de la magie ♥️
Bon courage pour la suite de ta présentation ! :ahah:
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Invité
Jeu 1 Déc - 20:00
Mayu: Aaaah, je te laisse deviner, Plume ;)

Ryuu: Merci :) Je prendrais le temps de me relire ^^
Invité
Anonymous
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Invité
Jeu 1 Déc - 20:33
Ephyyyyyyyyyyyyynouneeeeeeeeeeeeeette ♥
Invité
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Invité
Jeu 1 Déc - 23:40
Plumeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeette ♥ ♥ ♥

Je crois bien que j'ai finis ma fiche et mes divagations XD
Invité
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Invité
Dim 4 Déc - 21:30
Erakela

➜ Orthographe :
1.5 / 2 => Plusieurs fautes.
➜ Vocabulaire :
2 / 2 => Un vocabulaire simple, mais pas pauvre ^^
➜ Conjugaison :
1.5 /2 => Des fautes de conjugaisons, mais bon, ça va ^^
➜ Qualité :
3.5 / 4 => On sent que tu as fait des efforts, mais aussi que tu t'es dépêchée. Tu as oublié de te relire encore une fois (t'aurais pu effacer les fautes qui t'ont fait perdre un demi point en orthographe et conjugaison)
Sinon, c'est une plutôt bonne présentation, un perso sombre, et assez sympathique.
➜ Originalité :
2 /2 => Rien à redire.
➜ Respect de la langue française :
2 /2 => Fait gaffe, à un endroit ou deux, je sais plus exactement où, tu m'as fait une phrase sans majuscule.
➜ Note perso :
2 /2
➜ Bonus longueur du texte :
2 / 4

➜ Niveau
17
➜ Niveau bonus
2  
➜ Niveau total
19

➜ Point techniques
19
➜ P.Ts bonus
2  
➜ P.Ts total
21

➜ Points de caractéristiques
95
➜ P.Cs bonus
10  
➜ P.Cs total
105

➜ Kinahs
10 000  

➜ Erakela
est validée en tant que membre des Chasseurs de primes avec un niveau 19, 21 points techniques , 105 points de caractéristiques à répartir sur sa fiche technique dans les statistiques et un total de 10 000 Kinahs

Invité
Anonymous
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Invité
Dim 4 Déc - 21:35
Merci ! ^^
Pour ma défense, la conjugaison et moi, on est pas amies et je refuse de me marier avec un Bescherelle XD
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