Décrivez votre mental en 10 lignes minimum.

L'atmosphère était lourde, pesant comme si le ciel et tous les astres de l'univers allaient s'abattre sur nos tête faibles. Oui faibles. Nous n'étions même plus humanoïdes. Notre âme retiré de notre corps. Des pantins de chair.
Les hommes qui nous dictaient des ordres, que l'on executaient sans "chouinnement, portaient ses horible uniformes sombres. Je les détestais autant qu'ils nous detestais. Il étaient des hommes, nous étons que des chiens. Ils avaient le droit de parler, de crier, de courir, de manger. Nous, devions que marcher et entrer dans ce wagon. Le train de la mort nous attendais sagement pour partir dans un monde remplis de gaz putride : l'enfer.
Je n'ai toujours pas les mots pour décrire ce que j'ai enduré.
Le seul moment où je pouvais me sentir bien est la chaleur apaisante de la paume de ma mère. Sa main tenait la mienne avec tant de passion. Elle savait. Elle savait ce qu'il allait se passer. Que ces hommes allaient faire. La poigne dévouée d'une mère...est la meilleure chose que l'ont peut avoir dans un moment d'horreur. La séparation de celle-ci est la pire.
Il y avait un monde fou ! Je me rappelle qu'il y avaient beaucoup de monde au marché de ma ville natale, mais pas autant qu'ici. Pire qu'une fourmillière. C'est comme ça que je perdu visuellement ma mère. Disparue dans la huée de monde.
Panique.
À cet instant, je savais que je ne pouvais que compter sur moi même. Un homme à uniforme me cria d'entrer dans le wagon, accompagné d'une claque.
Je ne suis pas un chien.
Ma tête d'enfant pivota dans une violence. Il continua de me hurler dessus. Je ne lui ai rien fais pourtant. Mon regard se leva vers le sien. Mes yeux d'enfant regarda pendant quelques secondes des yeux d'adulte. "MONTE !", "JE VAIS TE FRAPPER ENCORE !" ; voilà les mots de haine qui sortaient de sa bouche.
C'est toi le chien.
Je monta alors dans le wagon crasseux et infester de rats, l'odeur de la mort nous enlaçait. Les enfant avec moi étaient perdus. Sans parents, sans chaleur, sans âme. La voix puissantes des soldats allement retentissant dehors, puis le siflement du train. Le wagon se mit à bouger. L'enfer.
Je savais que plus tard les gens pleureraient de colère, de dégout, de tristesse par cette histoire là.
Il faisait froid. Mais j'avais chaud. Contrairement aux autres, j'avais la capacité d'être en colère.
Nous ne somme pas du bétail.
Le vent s'invitait dans la pièce mobile par courant d'air. Assise dans un coin matelasé par la poussière accumulée, je fréfléchis. Ma mère ? Va-t'elle au même endroit ? Mon père je savais. Il a déjà été abattut devant notre maison. Quand j'y repense... "L'Allemagne ! Vous allez voir ! C'est l'avenir ce pays !". Voilà comment mon père nous a présenté se pays putride. L'avenir ? L'avenir qui s'arrêtera au même moment que ce train.